À l’heure de la récréation, je cours vers l’immense arbre qui se trouve dans le fond, près de la clôture. J’aime bien sentir ses écorces sous mes paumes. Je marche sur ses grosses racines et tourne autour de lui, en chantant des comptines. Il me fait du bien. Je ressens sa vieille âme, son vécu, je communique avec le seul bout de nature qui existe dans notre cour d’école.
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Dépression : L’accès à l’aide psychologique
Je ne comprends pas pourquoi l’aide psychologique est si difficile à obtenir. Toutes les étapes à franchir pour simplement voir un psychologue et dire : « Ça va pas. » Il y a heureusement de nombreuses lignes d’écoute et des organismes d’aide qui peuvent être le premier recours. Ne perdez pas espoir, le chemin est long, mais l’arrivée en vaut la peine.
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DÉPRESSION : Les réseaux sociaux
On m’a jugé, on m’a mis en garde, on m’a traité de plusieurs manières, mais j’ai cessé d’écouter les autres, car mon dossier médical était pour moi la seule chose qui avait du pouvoir. Mon psychologue m’a félicité à plusieurs reprises et quand ça arrivait, l’estime de soi ne faisait que prendre encore plus de place et écraser la douleur qui restait.
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La mère poule que je suis
Et pourtant, je me considère comme un être logique, comme une personne zen, qui aime la vie, qui jouit de la vie. Toujours, je suis positive, je garde le cap, je relève mes manches.
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La fois où…j’ai changé de tête
Dès mon entrée en ces lieux épurés et décorés avec goût, je m’y sens bien. Légèrement apaisée, mais aussi un peu excitée. Des luminaires modernes, des étagères bien garnies, de jolis accessoires et des fauteuils invitants. Certaines de ces chaises pivotent et s’ajustent au gré des besoins. De belles pantoufles attendent les invités afin qu’ils se sentent comme chez eux.
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DÉPRESSION : L’arrêt de travail
Je ne suis pas facile avec lui et je comprends tellement à quel point cela doit être difficile pour lui. Malgré tout il est là et j’ai l’impression que notre amour n’en sortira que plus fort.
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Des femmes inspirantes parmi tant d’autres
En général, je ne suis pas la meilleure pour faire des choix. Par exemple, quand on me demande ce que je veux manger, je sais rarement ce qui me tente le plus, mais faut dire que je ne suis pas très difficile. Par contre, du côté des femmes inspirantes qui m'entourent, ce n'est pas une question d'indifférence ou de préférence, mais plus de m'arrêter sur seulement quelques unes de ces femmes.
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Vivre dans la ville : Avoir son coeur à la campagne!
En effet, j’avais peur d’affirmer haut et fort que j’aimais bien vivre dans la grande ville de Montréal, mais que j’étais une fille de la campagne. Dans les milieux ruraux, il ne manque aucunement d’espace pour s'évader, même l’atmosphère est différente.
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La série Féminin/Féminin : femmes et diversité montréalaises
Bien qu’elle veuille offrir de la visibilité à la communauté lesbienne, la série aborde aussi d’autres thèmes et situations qui ne sont pas en lien avec l’identité sexuelle, comme la famille, le deuil et la maladie.
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Invisibilité
Au bras d’un homme, je suis hétérosexuelle. Au bras d’une femme, je suis homosexuelle. Ma bisexualité leur est invisible ; mon partenaire me définit. On se fie aux marqueurs relationnels que l’on connait pour mettre des mots sur MA réalité. Le problème? JE, mon identité sexuelle, n’est pas aussi saute-aux-yeux. On s’attend à des indicatifs, des descriptifs, des représentations claires de «ça a l’air de quoi».