L’automne dernier, Folie Urbaine a reçu beaucoup de livres en services de presse et parmi eux : L’univers de Constance Prévost par Les Éditeurs réunis. J’avais hâte de le lire parce qu’il m’intriguait beaucoup. Il s’agit du premier roman de l’auteure, Amélie Vallée, qui a d’ailleurs déjà écrit pour un petit journal, l’Hebdo du St-Maurice. C’est 408 pages d’humour, de divertissement, d’amitié et tout ce qu’on aime d’un bon chick lit.
Étiquette : critique
Je lisais les pages presqu’au même moment que l’histoire se déroule et, pour ma part, en janvier, cela fera un an que je suis célibataire. Donc, je n’ai plus été capable de relever mon nez du livre. Deux jours plus tard, j’ai tourné la dernière page et j’ai eu une grosse tristesse en me rendant compte que c’était fini.
Quand j’ai reçu le livre À l’ombre des érables et des palmiers, écrit par Guy Bélizaire, je n’avais aucune attente. Pas très épais, couverture sobre, cette oeuvre n’attire pas nécessairement l’oeil au premier regard, mais elle devrait. J’ai tellement trouvé ce livre important. Il fait partie des choses à avoir sur sa table de chevet et qu’on doit relire de temps en temps. Personnellement, ce n’est pas du tout ma réalité qui y est exprimée et j’en suis encore plus reconnaissante depuis ma lecture.
J’ai découvert la compagnie Oatbox en surfant sur les réseaux sociaux où elle est très présente notamment sur Instagram où je passe une partie de mes journées. Cette entreprise se spécialise dans la vente de céréales sous forme de boîtes mensuelles. J’ai été conquise par leur visuel, leurs photos toutes plus magnifiques les unes que les autres et surtout les nombreuses saveurs offertes.
Le titre du livre en dit beaucoup sur le genre de sujet dont le livre traitera. «Rivalités et conséquences» peut représenter beaucoup de choses. Il est facile de se laisser aller dans nos idées concernant l’histoire d’un livre simplement grâce au titre.
Le premier, La gardienne du musée, est une histoire fictive, où l’on apprend que la beauté réside dans le regard que l’on porte sur soi et sur les autres, non sur les traits du visage, mais bien sur ce que nous avons en nous et qui émane à l’extérieur, avec la tendresse, l’amour et la douceur de l’enfance.
Dans un monde idéal, je serai dotée du pouvoir de télékinésie. Ce serait tellement le bonheur de faire mon ménage sans lever le petit doigt!
Alors que je suis toujours à l’affût des derniers romans de chicklit, celui de Geneviève Cloutier m’est tombé sous la main alors que je passais devant le rayon de livres à la pharmacie de mon quartier. Immédiatement charmée par le titre et la couverture, j’ai tout de suite eu envie de m’y plonger.
Si les romans qui font l’éloge des voyages figurent habituellement parmi mes préférés, celui-ci ne fait pas exception. Samantha, début vingtaine, quitte un emploi qui ne lui convient pas et décide aussi de laisser amis, appartement et famille derrière elle pour prendre un billet d’avion afin d’aller rejoindre un ami en Thaïlande.
J’aime beaucoup lire, je prends de plus en plus de temps pour le faire également et j’aime découvrir de nouvelles histoires, de nouveaux ouvrages, tout ce qui peut apporter un petit plus à mon quotidien, qui peut me divertir, me faire rêver ou simplement me faire passer un bon moment. Je vais continuer à vous partager mes lectures, car j’ai encore une belle pile qui m’attend à la maison et avec le talent que nous avons ici, je ne doute pas que de nouveaux titres se retrouveront entre mes mains et sous mes yeux en soif de lecture.