Je suis fière de voir des projets se concrétiser en lien avec les maladies mentales, je suis fière de voir de l'aide se développer. C'est tous ensemble, main dans la main, qu'on aidera notre société à aller mieux. En parler, c'est montrer à ceux qui souffrent en silence qu'ils ne sont pas seuls. C'est aussi de montrer à ceux et celles qui vivent au quotidien avec une maladie mentale que le beau existe, que de l'aide est disponible, pas encore assez, mais il en existe.
-
-
Dépression : La médication
Quand je suis tombée en arrêt de travail et que j’ai vécu l’hospitalisation et tout le reste dont je vous ai parlé dans mes précédents textes, on n’a pas changé ma médication sur le coup. Ma psychiatre voulait voir mon cheminement avant.
-
Dépression : les relations
J’apprends à travailler sur moi, à apprivoiser cette bête qui m’habite, mais je ne peux pas la détruire, elle fait partie de moi et je dois simplement l’apprivoiser pour la contrôler.
-
Dépression : Le jugement
Avant de prononcer un mot ou lancer un regard, pensez à l’humain devant vous et dites-vous que derrière son sourire se cache un courage immense, celui d’être devant vous, de sourire et de prendre le dessus sur sa souffrance qu’il combat chaque seconde.
-
Dépression : L’accès à l’aide psychologique
Je ne comprends pas pourquoi l’aide psychologique est si difficile à obtenir. Toutes les étapes à franchir pour simplement voir un psychologue et dire : « Ça va pas. » Il y a heureusement de nombreuses lignes d’écoute et des organismes d’aide qui peuvent être le premier recours. Ne perdez pas espoir, le chemin est long, mais l’arrivée en vaut la peine.
-
DÉPRESSION : Les réseaux sociaux
On m’a jugé, on m’a mis en garde, on m’a traité de plusieurs manières, mais j’ai cessé d’écouter les autres, car mon dossier médical était pour moi la seule chose qui avait du pouvoir. Mon psychologue m’a félicité à plusieurs reprises et quand ça arrivait, l’estime de soi ne faisait que prendre encore plus de place et écraser la douleur qui restait.
-
DÉPRESSION : L’arrêt de travail
Je ne suis pas facile avec lui et je comprends tellement à quel point cela doit être difficile pour lui. Malgré tout il est là et j’ai l’impression que notre amour n’en sortira que plus fort.
-
DÉPRESSION : Le centre de crise (partie 2)
Je ne repars pas les mains vides. Je repars avec des outils qui m’ont été utiles pendant mon séjour et qui le seront pour le reste de ma vie.
-
J’ai vu la dépression, mais elle m’est inconnue
La dépression, je l’ai toujours vue, mais je ne l’ai jamais reconnue au premier coup d’œil. Pour moi, la dépression était comme le secret du caramel dans la Caramilk. Tout le monde se demande comment elle s’y retrouve, mais personne ne s’interroge VRAIMENT sur son origine. C’est là, tout simplement.
-
DÉPRESSION : Le centre de crise
Un soir, mes parents sont venus me chercher pour aller souper. C’était difficile de les voir s’inquiéter comme ça. Je ne suis pas capable de tout leur dire, pas comme je suis capable de le faire avec mon amoureux.