J’ai eu plusieurs Noël différents : ceux chez mon pépère et ma mémère dans leur logement, ensuite chez mes parents, toute la famille à Rawdon où l’on faisait de la motoneige et de longues marches sous la neige, ce sont vraiment mes meilleurs souvenir d’adolescence.
-
-
Être enfant unique
Depuis que j’ai perdu mon grand-père, la famille est devenue plus importante, ainsi que les valeurs qui y sont attachées. Aujourd'hui plus que jamais, j’aimerais poursuivre les valeurs de ma famille. Je n’aurai jamais la chance d’avoir ce genre de conversation avec un semblable concernant mes parents. Que ce soit pour une conversation de recettes, de souvenirs de vacances, de spectacles, etc.
-
Ma fille et son caractère, la différence entre mes deux enfants
Avoir des enfants, c’est ma plus belle fierté dans la vie. Quand j’ai eu mon fils, j’étais tellement heureuse. C’était un bon bébé qui pleurait très peu et qui écoutait vraiment bien quand je lui parlais. Il comme moi, un enfant tranquille, qui était toujours souriant. Quand j’ai eu ma fille, j’étais plus qu’heureuse. J’allais avoir les deux : un fils et une fille.
-
Ma relation avec mes frères
De mon enfance avec mon grand frère, je garde de doux souvenirs. Je me souviens qu’il passait du temps et jouait avec moi. Il me déguisait souvent et nous rigolions beaucoup, car j’adorais cela! J’ai d’ailleurs de magnifiques photos qui témoignent des nombreux accoutrements que je portais ainsi que des costumes d’Halloween assortis que ma mère nous fabriquait.
-
Pourquoi eux?
Ils sont nés heureux, Mais la vie les rend malheureux. Conçus de parents unis, Que la vie a désunis.
-
Ma magnifique famille recomposée
Je m’en souviens comme si c’était hier. J’étais tellement nerveuse, je ne crois pas avoir été aussi stressée de toute ma vie. «Et s’il ne m’aime pas?» était constamment dans ma tête. J’étais là, les mains moites et le cœur battant, et ce petit bout d’humain est venu ouvrir la porte de sa maison. Avec son habit de neige bleu marine et sa tuque, il m’a accueillie avec un gros sourire.
-
À toi, fière maman à la maison
Je t’ai beaucoup jugée et aujourd’hui, je paye pour. Toi qui avais un avenir de femme de carrière, qui as tout mis sur la glace quand la petite ligne bleue est apparue sur le fameux bâton. Je commence ma carrière et je suis trop égoïste pour tout laisser tomber pour être mère. Toi qui fais confiance à la vie. Bien moi, je t’envie. J’ai trop peur. Peur de manquer de tout, toi, tu es certaine de ne jamais manquer d’amour.
-
L’amour fraternel écorché
Petite, j’ai accueilli ta présence dans ma vie comme une petite fille qui reçoit une nouvelle poupée avec laquelle elle peut jouer. Je n’avais pas tellement mon mot à dire, nos parents voulaient 4 enfants. Après seulement deux ans et demi avec moi, ils ont décidé de t’intégrer à notre noyau familial en t’accueillant avec le même engouement et le même amour que moi lorsque je suis arrivée. C'est à ce moment qu'est entré dans ma vie l'amour fraternel.
-
Les joies d’être une baseball mom
Dès que j’ai su que je t’attendais, mon petit bonhomme, je me suis tout de suite dit que j’allais pouvoir t’inscrire au baseball quand tu aurais l’âge de courir sur les buts. Comme ton parrain et ton papou avant toi, tu allais revêtir ton uniforme et te promener avec ton bâton et ton gant à la main, de parc en parc pendant la saison estivale. Moi qui adore ce sport pour l’avoir pratiqué quand j’étais plus jeune, et pour avoir été marqueuse afin de me faire de l’argent de poche, j’étais si impatiente de te voir enfiler tes premiers souliers à crampons et ta première casquette aux couleurs de ton…
-
Ode à la fin d’année scolaire
Aujourd’hui, Ti-homme a terminé une autre année scolaire. Une autre qui a filé à la vitesse de l’éclair, mais qui, par moment, m’a semblé interminable. Pis ce soir, j’ai envie de partager un peu mon euphorie à l’idée de ces deux beaux mois de congé qui commencent.