Déjà un an! Je n’arrive pas à croire tout ce que nous avons vécu cette année. Je suis si fière de notre blogue et de tous les accomplissements que nous avons faits. Je ne pouvais rêver mieux; j’ai grandi et appris tellement de choses depuis que j’ai créé Folie Urbaine avec mes 3 superbes amies.
On a eu la chance de faire de magnifiques rencontres, dont des entrevues avec des personnes vraiment inspirantes. On a donc eu l’idée de faire un article qui regroupe une partie des réponses à notre traditionnelle question ‘’ Quelle est ta plus grande folie? ’’ que nous avons toute eu du plaisir à poser aux personnes que nous avons rencontrées.
« Partir à son compte, c’est un peu une folie en soi, haha. Sinon, les livres. Je deviens un peu fo-folle dans une librairie et ma liste de souhaits sur Amazon est franchement hors de contrôle! »
Le Villeray artistes coiffeurs
« Déjà ça, c’est une grosse folie, parce que je n’étais pas carriériste au point de vouloir ouvrir mon propre salon. C’est mon copain qui m’a donné l’idée. Moi, tu ne peux pas me donner des idées de même, parce que dès que tu m’as donné l’idée, je ne déroge plus, j’ai juste ça dans la tête. Au début, je n’avais pas l’argent pour le faire. On avait très peur, mais j’ai tellement une belle clientèle et en plus, je reviens dans le quartier où j’ai pratiqué pendant longtemps. Le bouche à oreille a fait le travail. Je suis déjà un peu fou, donc j’en fais à tous les jours des folies. Je pense que c’est ça, ma plus grosse folie. C’est ce qui me vient en tête. Je pense que c’est la plus grosse folie de ma vie, parce que je n’aurais jamais cru avoir les capacités pour le faire et mon copain m’a donné le courage de le faire. C’est mon René Angélil! »
Lors de la soirée CKOI Palooza 2016
Crédit photo : Karine Caron-Benoit
Valérie Roberts : « Je te dirais que ma plus grande folie, c’est sûrement de partir en voyage n’importe quand, n’importe où. Avec mon chum, on est vraiment fan de ça; des fois on a une semaine off et on regarde c’est quoi le billet le moins cher et on va à cet endroit-là, ce qui nous amène dans 3 semaines à Amsterdam, au mois de mars en Islande et on revient tout juste du sud de la France. Les deux, on aime beaucoup voyager, j’aime découvrir les endroits avec lui. On est en amour, on est bien à Montréal, mais on veut aussi des fois aller s’aimer ailleurs! »
Marie-Josée Gauvin :« Ma plus grande folie? Ce serait de sacrer mon camp sur une île où plus personne existe sauf les gens que je décide d’amener. En fait, concrètement, ce serait de tout sacrer là pour aller vivre en Californie, trouver le moyen d’aller vivre là. En fait, ma plus grande folie ce serait de gagner à la loto, ça, ça ce serait malade! »
« Je suis tellement quelqu’un de calme dans la vie, pas fofolle. C’est peut-être de m’en mettre beaucoup sur les épaules. C’est tout ou rien. Il n’y a rien à faire, ça ne change pas, je déteste la routine. Cocooning Love, c’est le fun pour ça, ça me change de la routine. »
Lors de l’événement ANEB 2016
Crédit photo : Dominique Babin
Vanessa Pilon : « À un moment donné, j’étais un peu tombée en amour avec un gars pis il partait au Japon pendant vraiment trop longtemps pis en revenant chez nous, j’ai acheté un billet pour le Japon pour le surlendemain. Le lendemain matin, je me suis demandée si j’avais VRAIMENT acheté mes billets d’avion. »
Debbie Lynch-White : « C’est pas une » folie « , mais c’était quand même un beau vertige, quand j’ai demandé ma blonde en mariage. Je suis un peu vieux jeu là-dessus, dans le sens que je me marie une fois, c’est sérieux, je veux faire ma vie avec elle et c’est réciproque. Alors de comme officialiser ça, de faire » Oh mon dieu, c’est là que je demande quelqu’un en mariage! »
« Je n’ai pas fait de grandes folies dans ma vie, car je ne gagne pas une fortune et je ne prends pas beaucoup de risques (rires). Mais je me souviens qu’une fois, mon chum travaillait à Québec toute la semaine et devait exceptionnellement rester sur place la fin de semaine aussi. Comme il n’avait pas prévu le coup, il lui manquait des vêtements. J’ai donc décidé de partir pour Québec le vendredi, après le travail, et d’aller lui porter des vêtements supplémentaires avant de revenir dès le jour suivant. J’ai dépensé des sous pour des vêtements, de l’essence, et j’ai dormi à l’hôtel tout simplement pour être avec lui, alors que j’avais un cours le lendemain matin. Ça, c’est mon genre de folies (rires) ! »
Lors du tapis rouge de la première du film 1:54
Crédit photo : Karine Caron-Benoit
Sophie Nélisse : « Ah c’est dur comme question! Une folie… je suis sûre que j’en ai plein! Je dirais que je suis folle de la poutine. J’suis pas capable d’en manger ailleurs qu’au Québec, c’est la meilleure. Et si tu veux me rendre heureuse quand je suis fatiguée, tu me donnes ça et je suis comblée! »
Yan England : « Une des grandes folies que j’ai faite serait d’avoir décidé comme ça, sur le fly, que je partais pendant un mois de temps en Italie. Je m’en allais dans ma famille qui ne parlait pas un mot anglais et/ou français. Je suis arrivé là-bas, je ne connaissais rien du tout et le but c’était d’apprendre la langue. Ça s’est bien passé! »
Sarah-Jeanne Labrosse : « Une de mes plus grandes folies, que je porte ce soir, serait d’avoir acheté un gilet 100% cashmere beaucoup trop cher… en me disant que j’allais être capable de le porter toute ma vie! Je ne sais pas si je vais être capable, mais le but serait ça pour le rentabiliser. »
Sophie de la compagnie Zaan
« Ouf, je suis tellement sage dans la vie. Je dirais que me lancer en affaire et créer Zaän est sans doute ma plus grande folie. Il faut être un peu fou pour devenir entrepreneur, surtout dans le milieu de la mode au Québec. »
« Il y en a plusieurs, je suis très impulsive et j’aime me mettre au défi. »
Myriam : « D’être retournée à l’école après plusieurs années dans un domaine que je voulais depuis longtemps, en environnement. »
Florence : « Décider de ne pas retourner travailler. Mon père est tombé malade, j’ai quitté le travail pour m’occuper de lui. Lorsqu’il est décédé, je ne suis pas retournée et je suis restée à mon compte. »
« C’est tout ça! (rires) S’être lancé dans cette aventure c’est une folie tous les jours. Tout s’est fait si rapidement, toutes les portes se sont ouvertes avec une facilité et une rapidité incroyable qui a fait en sorte que chaque fois on se demandait : « Tu es sûre ?» « C’est vraiment ce que tu veux ? » « Est-ce qu’on le fait ? » Tout s’est pratiquement fait en moins d’un mois. C’était assez intense ! Je suis un peu fêlé, comme on dit en France, des idées j’en ai des tonnes et Marie-Noëlle doit s’accrocher pour me suivre (rires). »
« À 14 ans, j’ai fait la route de Sherbrooke jusqu’au Lac-Saint-Jean en vélo avec mon grand frère. On a roulé pendant 7 jours juste pour aller se tremper les pieds dans le lac et revenir ! Je me rappelle aussi une rencontre mémorable avec René Angélil qui m’avait appris que Céline ferait sa première apparition à Good Morning America quelques jours plus tard et, que si par hasard je me retrouvais à New York ce jour-là de lui passer un coup de fil. J’ai décidé de prendre ma voiture et de partir pour New York pour y assister. Dès mon arrivée à New York, j’ai contacté René pour lui dire que j’étais sur place et j’ai pu assister à l’enregistrement. J’ai eu la surprise de voir Céline sortir avec un veston de ma collection ! Je ne lui avais rien demandé et je n’étais pas du tout au courant. Je crois que j’aurais pu mourir en paix après cette journée-là. (Rires) ».
La majorité de ces folies sont vraiment inspirantes et d’autres très cocasses. Il y a tellement d’autres anecdotes que nous avons eu la chance de noter dans un article et je suis certaine qu’il y en aura encore plusieurs autres à venir. Folie Urbaine c’est qu’un début : on a l’avenir devant nous et nous avons très hâte de faire encore plein de belles rencontres qui nous marqueront, j’en suis certaine.