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Nuit blanche

Bouger, rugir au milieu du néant

Lorsque je suis dans le noir

Mon cœur se mit à battre violemment

Le silence devient un éternel pouvoir

 

Nudité totale dans ma nuit blanche

Mes yeux accablés de poussières de ténèbres

Je me tringle dans un enfer d’ovations

Telles sont mes réactions muettes

 

À travers l’agitation de ma nuit vive

Je me trouve dans un plaisir morbide

Ma peau tendue au supplice du désir

Que m’engage dans un amour peu justifié

 

Texte de Jean François Michelove

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