On t'en apprend plus sur Fred

On t’en apprend plus sur… notre auteur Fred

*Chaque mois, on te présente un membre de notre belle équipe que ce soit un.e auteur.e ou un.e réviseur.e. Comme nous pouvons compter sur des humains magnifiques et bourrés de talent, nous avons le plaisir de les mettre en lumière afin de te les faire découvrir autrement sur le blogue.*

Ce mois-ci, on laisse la parole à Fred, le seul auteur masculin à écrire pour Folie Urbaine. Et on peut te dire que ça ne le gêne nullement!

Étant lui-même le fondateur d’un blogue sur Facebook qui porte le nom de Fred, écrivain, il s’est offert pour rejoindre les rangs de Folie Urbaine, il y a déjà près d’un an, afin de diversifier ses projets d’écriture et nous faire profiter de sa belle plume. Depuis, il s’exprime sur les relations amoureuses et parfois sur sa vie de papa. L’écriture étant une véritable passion pour lui, il est en pause de textes pour Folie Urbaine afin de se consacrer à ses projets personnels, mais compte bien continuer à divertir nos lecteurs lorsque l’occasion se présentera. On a d’ailleurs hâte que vous puissiez le lire à nouveau!

On t'en apprend plus sur Fred

En attendant, voici donc l’occasion de le découvrir davantage grâce à ces quelques questions.

Comment réussis-tu à garder ton équilibre à travers ton quotidien?

Fred : J’ai le privilège d’avoir la capacité de lâcher prise sur bien des choses et de me coucher dans le même état d’esprit qu’à mon réveil. Pour moi, cette routine est la plus importante de toutes. Je choisis mes combats. La vie nous engorge parfois d’épreuves et on se doit de faire abstraction à celles-ci si on veut atteindre un certain équilibre. Je juge que ma vie est réussie à partir du moment où les gens qui m’entourent sont heureux de ma contribution dans la leur. C’est ce qui me permet de dormir la conscience tranquille et reposée, sans trop me soucier de ce qui se passera demain.

Quel genre de papa es-tu?

Fred : J’adore mes enfants et ils le savent. Le fait d’en avoir deux fait de moi un père deux fois millionnaire. Je suis attentionné et j’aime leur inculquer des valeurs qui sont, pour moi, des incontournables s’ils souhaitent connaître une vie épanouissante et enrichissante. Je prends le rôle de père très à cœur, ayant perdu le mien à l’âge de douze ans, il est encore plus important à mes yeux d’être un parent présent à chaque étape de leurs vies.

On t'en apprend plus sur Fred

La fois dans ta vie où tu aurais voulu arrêter le temps?

Fred : Sans hésiter, les derniers moments passés avec mon père. J’étais seul avec lui lorsqu’il s’est éteint et j’aurais voulu que le temps s’arrête pour que nous puissions avoir une (longue) conversation avant de le voir quitter ce monde beaucoup trop prématurément.

On dit de toi que tu es…

Fred : Sage. Enfin, il paraît que je dégage de la sagesse et de la quiétude. J’étais peut-être une vieille âme avant cette vie, ne sait-on jamais! Je suis une personne qui s’inquiète et qui stresse rarement. Je suis un homme qui vit au jour le jour. C’est peut-être pour cette raison qu’il est plus facile de passer par-dessus les aléas que la vie met sur mon chemin.

Tu aimerais être moins…

Fred : Frustré (lol) avec tout ce qui se passe dans notre monde, plus particulièrement ici, au Québec, je n’arrive pas à comprendre la bêtise humaine et les paradoxes dont nous sommes témoins…

Es-tu plus ville ou campagne?

Fred : J’ai vécu dans les deux milieux et je dois dire qu’ils ont chacun leurs lots d’avantages. La campagne offre la tranquillité alors que la ville offre la proximité. Choix difficile à faire!

Si tu pouvais changer de carrière, que ferais-tu?

Fred : Probablement écrivain à temps plein (ce que je souhaite à long terme) ou scénariste pour le cinéma qui est mon premier amour.

Dans 5 ans, où te vois-tu?

Fred : Je ne sais pas trop, mais je me vois aussi heureux qu’aujourd’hui, ce qui serait une excellente chose!

On te partage également trois des textes préférés de Fred qu’il a soigneusement choisis. Tu pourras ainsi les relire ou les redécouvrir.

Le poids du silence qui met en sourdine la tristesse qui nous perle les yeux.

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