ATTENTION : Folie Urbaine tient à vous aviser que le texte qui suit est une fiction érotique et qu’elle risque de vous faire rougir.
Cette journée là, tout était pareil : le même comptoir, les mêmes collègues et les mêmes clients. Depuis longtemps, je rêvais d’une histoire sexuelle, celle qui ne dure qu’une nuit et sans lendemain. Celle qui reste mystérieuse et sexy. Durant un déplacement entre le bureau et la chambre forte, j’ai entendu des coups de feu, pareils à ceux que j’avais déjà entendus il y a longtemps dans un film d’action. Mais en ce moment, je réalisais que je n’étais pas l’héroïne, plutôt la victime qui passerait un mauvais moment. Les gens criaient, les gens couraient et moi j’étais si gelée sur place, je ressemblais à un Mr. Freeze, en train de freezer sur place. Mon seul réflexe était celui de courir dans la chambre forte et y rester durant que les secours puissent arriver. Le silence, la senteur des billets, ma respiration et mon cœur qui déclenchait des battements tellement forts. J’étais loin de tous ces gens qui devaient supporter le bruit des armes et la sensation des agresseurs qui se faufilaient entre les rangées.
La porte se déclencha, la porte émettait un bruit de tic-tac, la porte sonnait, la porte semblait s’ouvrir, la porte avait été mal fermée! Dû à mon stress, j’ai du mal déclencher le code de fermeture. Ceci ne dura que quelques secondes, mais ça me parut une éternité. Je priais que ça soit les secours. Au contraire, c’était cet homme armé d’un pistolet, habillé d’un jean noir troué, une veste de jean trouée, accompagnés d’un chandail noir uni. Il portait un masque, il était tatoué, je pouvais le voir à partir de ses mains. Il avait une trace de sang sur la jambe, il me fixait à partir de son masque, il m’intimidait. Ses cheveux semblaient brun foncé, ils étaient cachés par sa veste. Il s’approcha de moi, il était silencieux et brusque. Il leva mon pantalon et serra une plaie que je m’étais faite à l’arrivée des voleurs. Il déchira son chandail et entoura la blessure qui coulait de sang. Il me dit de ne pas crier et de rester assise. Si je respectais ces deux règles, je risquais de rester en vie. Des heures s’étaient écoulées et il était toujours silencieux. Ma plaie débordait, j’avais besoin d’une trousse de premiers soins, mais ce n’était pas possible. Je déchirai un bout de mon veston et je me fis un garrot sur la jambe. Il ne me regarda pas dans les yeux, mon veston s’était déchiré à force de tirer. Il déposa sur moi sa veste, car je tremblais de peur. Son attitude rebelle mes donnaient des envies de fantasme que nous pouvons voir dans certain film, mais je me disais que en ce moment ce n’était pas un film d’amour ou je pouvais vivre, ils finiront heureux et auront beaucoup d’enfants. Il s’est assis par terre, le dos appuyé au mur et son arme accrochée à lui. Il me regarda du coin de l’œil et je le regardais. J’étais concentrété à regarder son masque, il semblait avoir chaud, il transpirait. Il enleva sa veste de jeans. Il était parfait : des bras colorés, des bras fermes et bâtis. Il était d’une beauté. Je tremblais. Il m’excitait, il me donnait chaud, il me donnait des envies secrètes. Mon pouls ne pouvait ralentir…
Il remarqua mon visage et ne dit toujours rien. J’ai décidé de m’approcher doucement, je ne pouvais plus me retenir. Je ne pouvais plus l’ignorer pour bien longtemps. J’avais envie de lui et de sa transpiration sur mon corps. Il me prit par le cou, me mis contre le mur et m’embrassa si intensément. Son masque tomba dans l’agitation de nos corps. Il était encore plus parfait. Si sexy qu’il me prit par les hanches et me leva. Je l’enveloppai de mes jambes. Il m’embrassa comme une bête sauvage, je sentais sa férocité à travers ses mouvements brusques. Je me sentais vivante. Ses mains me dominaient, elles étaient prises dans les siennes ils étaient doux dans sa façon d’être brusque. J’étais complètement soumise au plaisir qu’il me procurait
Cet homme sexy, enleva ses vêtements. Il était nu devant moi. Je m’approchai vers lui, enroulai mon corps contre le sien. Il me pénétrait tout en douceur, il était dur et chaud. Je ressentais chacun de ses coups de bassin sur mon corps. Il gémissait et moi je lui répondais par de petits bruits. Je sentis en moi de la chaleur et un ruissellement de liquide qui coulait doucement sur mes cuisses. Je ne voulais pas quitter son corps. Il décida de me déposer sur le sol et d’explorer les membres de mon corps, il m’embrassa, me mordilla, il avait trouvé mes points faibles et il s’amusait à jouer avec. Je ne pouvais que jouir, sa langue sur mon sexe et sa main sur mon sein. Il faisait des petits cercles, ce qui me donnait de petits orgasmes à tout moment. Je m’agrippais à lui et le grafigna dans le dos. Je ne pouvais me contrôler, mon corps sentait la pression sur mon clitoris qui se permettait de jouir.
Au loin nous entendions les sirènes, celles des urgences, celles qui viendraient me secourir de l’homme qui m’avait enfermé dans cette chambre forte. Il me regarda et s’habilla à toute vitesse et je restai en silence. Il m’embrassa sur le front et quitta la pièce sans dire un mot. Je fermai les yeux et j’attendis les secours arriver.
