La semaine avant ma chute, je faisais de plus en plus allusion à l'hôpital. J'avais l'impression d'étouffer de l'intérieur, ma poitrine était tellement douloureuse, j'avais du mal à me concentrer et j'avais des pertes de mémoires. J'avais recommencé à prendre des antidépresseurs depuis 8 mois, mais ça ne changeait rien.
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DÉPRESSION : L’appréhension
Je savais que quelque chose clochait dans ma tête. C'est ma tête qui était malade et qui rendait malade mon corps. Mais j'avais la certitude qu'un arrêt de travail ou une thérapie, ce n'était pas nécessaire. J’étais sur qu'avec le temps j'irais mieux, mais non. Je n'ai pas écouté mon corps et il m'a lâché. J'ai dû me rendre au bout du rouleau pour accepter de l'aide.
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DÉPRESSION : série de textes
Comme ma psychiatre m'a déjà dit: les gens ne comprennent pas ce qu'ils ne voient pas. La maladie mentale c'est quelque chose que les gens ne comprennent pas et jugent facilement puisqu'il n'y a pas de blessures physiques visibles, ou du moins, il y en a rarement.