La neige commence à fondre, c’est le temps d’ouvrir les fenêtres et de faire aérer ton appartement qui ne respire pas depuis novembre. Le cui-cui des oiseaux et le vent frais d’avril est parfait pour ce moment où tu sors ton pinsol et que tu frottes les vomis de ton chat et les p’tites empreintes de pattes sur ton sofa de cuir faite par un minou qui viens de sortir de la litière.
-
-
Le Royal : prohibition et speakeasy
Porte discrète entre deux commerces, au coeur du Plateau, à Montréal. Escaliers, menant au sous-sol, tapissés d'un papier rétro et coloré que tu veux définitivement chez toi en quelque part. On arrive dans un espace chaleureux, feutré, à la lumière tamisée.
-
Les dominos
J’t’un domino, mais pas le jeu où les points comptent, plus la version où tu essaies d’aligner les dominos perpendiculairement sur un long trajet sinueux. Ce jeu où tu passes beaucoup trop de temps à les coller sur des espaces réguliers pour finalement donner une pichenotte sur le premier et les regarder s’écrouler les uns sur les autres. Chaque domino en fait tomber un autre sans se soucier de qui va atténuer sa chute.
-
Le bruit de tes mensonges
J’ai longtemps cru que les mensonges étaient les marques créé par la flagellation de ma naïveté. Qu’on pouvait me mentir avec une telle facilité que c’était inévitable et trop tentant de le faire. À quel point je devais être stupide pour avaler ce qu’on m’offrait sans me poser de question. C’était facile pour moi de prendre ma petite voix intérieure qui me dit que quelque chose cloche pour une voix de jalouse hystérique et donc, de ne pas l’écouter.
-
Le striptease des responsabilités
C’est sûr que si tu es toi-même incapable de te souvenir de payer ton compte d’Hydro la moitié du temps, tu t’en fiches peut-être, mais la réalité est que lorsque tu dois être à ton affaire, la dernière chose dont tu as envie, c’est de jouer à la mère ! Alors out la veste en cuirette. Si tu fais tes impôts, si ta carte d’assurance est à jour, je drop ma blouse.
-
Ce que 2016 m’a appris
L’année 2016 est maintenant derrière nous, malgré que ça semble être une année qui a été difficile pour bien du monde, mon année 2016 a relativement bien été. C’est vraiment l’année où j’ai commencé à oser plus et forcément, à vivre plus. Alors, je t’ai fait une petite liste de ce que 2016 m’a appris.
-
Et si, je finissais ma vie seule ?
J’me retrouve à compter les hommes que j’ai eu dans ma vie sur le bout de mes doigts et avoir peur au jour où il va falloir que j’utilise mes orteils, mon nez et mes oreilles pour compléter le compte. Alors qu’au fond, dans la vie on rencontre plein de gens et qu’il y en a toujours qui sont là pour rester et d’autres qui ne sont que de passage.
-
RDV, L’anti salon de l’emploi
Le 10 novembre prochain aura lieu la première édition de l’anti salon de l’emploi RDV, s’adressant aux 16-35 ans, sans aucune limitation de statut social, économique et culturel ( ou : toutes classes sociales, économiques et culturelles confondues). Lors de cet événement, les participants pourront expérimenter une activité de réseautage et auront la chance de rencontrer plusieurs employeurs qualifiés, disponibles pour leur faire découvrir plus de 500 perspectives d’emplois par le biais de nombreux kiosques accessibles à tous. Dans le cadre de ce grand rassemblement seront représentées des entreprises spécialisées dans les domaines du commerce, de l’assurance, de la restauration et du tourisme, ainsi que de la santé. On y retrouvera…
-
Changer de chemin en cours de route
J’ai parlé récemment qu’habiter seule était une expérience qui avait été enrichissante pour moi. Un apprentissage qui à découler d’une séparation. Plusieurs expériences ont également été les (belles) conséquences de cette décision, entres autres, Folie Urbaine. Parfois dans la vie, tu prends des décisions à reculons. Tu as peur de regretter, de te tromper ou de prendre de mauvais choix qui te mèneront vers ton bonheur. Pour ton couple ou pour n’importe quoi d’autre dans la vie; une job, un déménagement ou une opportunité quelconque. Moi, la chose qui me terrifiait le plus est devenue la chose qui a déclenché un paquet de possibilités et d’ouvertures à un monde dont…
-
Je vis seule
Les premiers mois ont été un peu rough mais vraiment pas si pire. Dealer avec la solitude et la séparation, maîtriser. Apprendre à installer ou désinstaller les rideaux, stores, etc; l’enfer. Au début, chaque goutte de sang sur mon plancher obtenu par une blessure de montage de meuble ou de vissage ou name it, était un rappel que j’étais seule, faible et que je n’avais personne pour m’aider.
