Non. Mes bobos ne se voient pas. Mais ils sont là. Pas toujours, mais, tu sais, mes bobos font partie de moi. Mes bobos sont, pour la plupart, permanents et je les accepte maintenant. Ils ne me définissent pas en tant qu’humaine. Mais ils sont là, jamais loin, des fois petits, des fois gros. Pis c’est ben correct.