Les jours suivants se sont passés dans une sorte de lenteur. Mon quotidien oscillait toujours entre le repos, l’exaspération, la colère, la résignation, la douleur, les nuits agitées, le sevrage d’antidouleurs, la lecture, l’écriture, la télévision, et surtout beaucoup trop de temps sur les réseaux sociaux.
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Les chroniques d’une hyperactive au repos forcé : les premiers jours
Après l’opération, dont je ne garde qu’un vague souvenir, heureusement, j’ai vite compris que je n’allais pas pouvoir remarcher normalement de sitôt. La douleur est vite apparue après la disparition des derniers bienfaits de l’anesthésie.
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Les chroniques d’une hyperactive au repos forcé : le diagnostic
Il ne faut que quelques secondes à l’infirmière pour saisir l’étendue des dégâts causés par ma chute. Le bandage maison, fait à la garderie, n’est pas assez gros pour cacher ce qu’elle semble détecter tout de suite : ma cheville est croche.
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Les chroniques d’une hyperactive au repos forcé : la chute
C’était un lundi matin comme les autres. Banal, routinier, sans surprises. Rien de suspect au réveil ou dans les minutes suivantes pour me faire comprendre que ça pouvait être une journée de marde.