Au printemps, j’ai eu la chance de recevoir le tout nouveau roman de Blandine Chabot Si j’avais un dauphin je l’appellerais Stéphane (mais j’aimais bien aussi Suzanne). Il s’agit de la suite de Si j’avais un perroquet je l’appellerais Jean-Guy (parce que coco c’est déjà pris) que je n’avais pas encore eu la chance de lire. Alors, la Maison d’éditions Au Carré m’a envoyé les deux romans que j’ai pu dévorer avec plaisir un après l’autre.