Mes yeux sont-ils si vides d’expressions à ce moment précis pour que mon fils s’inquiète de mon bonheur ? J’ai pourtant l’impression de dégager la joie et le confort d’être là avec lui, sans pression ni horloge pour nous rappeler que ces heures devraient être consacrées à faire des tâches précises.
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DÉPRESSION : Le centre de crise (partie 2)
Je ne repars pas les mains vides. Je repars avec des outils qui m’ont été utiles pendant mon séjour et qui le seront pour le reste de ma vie.
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Déprime saisonnière
J’ai beau regarder le calendrier pour me motiver, mon cerveau ne veut pas enregistrer que le printemps arrive. Mes bottes ont perdu leur couleur d’origine et n’affichent plus que de grandes rigoles de calcium.
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Janvier, tu me déprimes
Janvier, c’est frette bâtard ! Bon, je ne t’apprends rien ici. C’est vrai que janvier est connu pour être le mois le plus glacial de l’année. Toute la neige que je trouvais dont cute pour agrémenter l’esprit de Noël est maintenant en phase de devenir « de la maudite marde blanche qui m’oblige à me lever plus tôt le matin pour déblayer mon char et qui laisse des traces de calcium sur mes belles bottes ».
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Je suis fatiguée
Avez-vous eu déjà l’impression d’être vide à l’intérieur ? D’avoir un méga trou noir qui gruge votre bonheur et toute votre énergie par la même occasion. Ce sentiment d’impuissance qui ne cesse de vous rabaisser. Je suis fatiguée, tellement fatiguée.