Je me rappelle cette matinée ; il était 9 h du matin et la salle d’opération grouillait de partout. Les spécialistes se préparaient et, moi, j’étais tout simplement sans mot.
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Les chroniques d’une hyperactive au repos forcé : la réadaptation
Lorsque j’arrive à la clinique, je ne sais pas du tout à quoi m’attendre à part bouger ma cheville pour faire en sorte qu’elle puisse retrouver sa mobilité et pour permettre à mon pied de revenir en parfait état.
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Les chroniques d’une hyperactive au repos forcé : la lenteur de la guérison
Les jours suivants se sont passés dans une sorte de lenteur. Mon quotidien oscillait toujours entre le repos, l’exaspération, la colère, la résignation, la douleur, les nuits agitées, le sevrage d’antidouleurs, la lecture, l’écriture, la télévision, et surtout beaucoup trop de temps sur les réseaux sociaux.