Je suis celle qui en parle 12 mois par année et qui se pitch dans les magasins le jour du Boxing Day. Celle qui écoute de la musique de Noël dès le 1er novembre et qui capote sur TOUT ce qui fait référence à Noël. Je dis bien TOUT.
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Moi et les autres, ce n’est jamais simple
Pour vrai, j’adore les contacts humains. Pour la fille ultra gênée que j’étais petite, ça semblait impossible que je finisse par avoir une facilité à entrer en contact avec les autres. À cette époque, j’étais de toute évidence invisible pour les autres. Il y avait toujours des personnes qui parlaient plus fort que moi, qui étaient plus extravagantes, qui se faisaient facilement remarquer.
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Et si, je finissais ma vie seule ?
J’me retrouve à compter les hommes que j’ai eu dans ma vie sur le bout de mes doigts et avoir peur au jour où il va falloir que j’utilise mes orteils, mon nez et mes oreilles pour compléter le compte. Alors qu’au fond, dans la vie on rencontre plein de gens et qu’il y en a toujours qui sont là pour rester et d’autres qui ne sont que de passage.
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J’ai peur de vieillir
J’ai peur de vieillir. Devenir vieille. Ne plus ressentir l’élan de la jeunesse. Et là, je ne te parle pas de grandir. J’espère grandir encore longtemps. Grandir au niveau psychologique, émotif, grandir en maturité.
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On n’oublie jamais, on vit avec
J’ai tellement accroché sur la phrase : « Plus tu cries et que tu montres que tu as peur, plus le comédien est motivé à continuer de te faire peur parce qu’il a réussi sa job ! » Oui, c’est super anodin comme phrase. Mais moi, je ne peux m’empêcher d’effectuer un parallèle avec : « Plus je criais, plus je disais non, plus il continuait et plus il me faisait mal.