J’ai longtemps cru que les mensonges étaient les marques créé par la flagellation de ma naïveté. Qu’on pouvait me mentir avec une telle facilité que c’était inévitable et trop tentant de le faire. À quel point je devais être stupide pour avaler ce qu’on m’offrait sans me poser de question. C’était facile pour moi de prendre ma petite voix intérieure qui me dit que quelque chose cloche pour une voix de jalouse hystérique et donc, de ne pas l’écouter.