J’ai vite pris l’habitude de vouloir tout changer pour m’aider à me sentir mieux. Mais le sentiment d’imposteur était toujours là. J’avais l’impression que, peu importe ce que je ferais, je me sentirais chez moi nulle part.
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J’ai roulé sans regarder en arrière
C’est là que la grosse boule qui était coincée a pris le bord. On était rendu 1h30 plus tard. J’étais rendue loin, mais je m’en foutais. J’avais le cœur libéré et l’âme en paix. J’ai fait demi-tour, je suis allée faire mon épicerie et je suis rentrée pour écrire ce texte.
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Apprendre à méditer avec Dre Sophie Maffolini
En ce moment, je suis à 17 jours, je n’ai pas terminé le livre, mais je peux déjà dire que je l’adore. Je ne vais clairement pas me restreindre à 28 jours. J’avoue ne pas avoir été rigoureuse, j’ai sauté quelques étapes, mais ce qui est bien de méditer avec un livre, c’est qu’on peut y aller à son rythme et selon comment on se sent. J’ai toujours essayé de méditer, soit par moi-même, soit avec des CD ou des applications, mais jamais avec un gros succès.
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Ma zone grise
Ma zone grise me permet de me protéger. Rester dans le confort de mes opinions, de mes pensées. J’aime ma zone grise, elle me permet d’élargir mes horizons, de pousser mes réflexions et d'apprendre. Je partage rarement ma zone grise, trop de gens sont noirs ou blancs, on ne s’entend pas.
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J’ai envie d’être contemplative
J’ai toujours rêvassé. Un peu, beaucoup et parfois longtemps. À l’école, j’ai perdu un temps fou à regarder autour de moi, à gribouiller dans mon agenda en laissant mon esprit s’égarer un peu partout, à regarder à la dérobé mon kik ou une fille que je trouvais jolie et dont j’admirais secrètement la façon de coiffer ses cheveux.