J’avais envie de te partager une journée de vacances parfaite pour moi. Tu as une journée ou tu ne sais absolument pas quoi faire? Pourquoi ne pas organiser la journée que je te propose ?
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Les chroniques d’une hyperactive au repos forcé : la routine s’installe toujours malgré tout
Parfois si réconfortante, mais aussi capable de nous faire douter de nos choix, de notre quotidien et de notre avenir. C’est une arme à double tranchant redoutable, qui fait peur par sa rapidité à s’installer sans même qu’on s’en rende compte. Dire qu’il nous arrive de la créer nous-même en pensant que c’est ce dont nous avons besoin.
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Les chroniques d’une hyperactive au repos forcé : les sentiments contradictoires
Après une accalmie où, contre mauvaise fortune bon cœur, j’ai accepté la situation avec optimisme, je passe maintenant par une nouvelle phase : celle des sentiments contradictoires.
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Les chroniques d’une hyperactive au repos forcé : trouver le positif
Je suis en vie. Je n’ai pas une maladie grave et je serai sur pied dans un avenir rapproché et pourrai reprendre ma vie comme avant, avec un minimum de séquelle, je l’espère et surtout un mauvais souvenir à classer afin de passer à autre chose.
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Les chroniques d’une hyperactive au repos forcé : les premiers jours
Après l’opération, dont je ne garde qu’un vague souvenir, heureusement, j’ai vite compris que je n’allais pas pouvoir remarcher normalement de sitôt. La douleur est vite apparue après la disparition des derniers bienfaits de l’anesthésie.
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Les chroniques d’une hyperactive au repos forcé : le diagnostic
Il ne faut que quelques secondes à l’infirmière pour saisir l’étendue des dégâts causés par ma chute. Le bandage maison, fait à la garderie, n’est pas assez gros pour cacher ce qu’elle semble détecter tout de suite : ma cheville est croche.
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Les chroniques d’une hyperactive au repos forcé : la chute
C’était un lundi matin comme les autres. Banal, routinier, sans surprises. Rien de suspect au réveil ou dans les minutes suivantes pour me faire comprendre que ça pouvait être une journée de marde.
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Journée de rêve
Mon idée n’est pas encore arrêtée pour cette activité précise. Mais c’est sur que je le fais en me mettant du vernis à ongle. Une fois sèche, je mangerais un dessert que je ne serais pas obligé de partager. Et je me coucherais tard. Très tard. Parce que je sais que cette journée ne serait pas prête de se renouveler et ce serait ben correct comme ça.
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La banalité de mes vacances reposantes
Quand j’entends le mot vacances, j’ai toujours des effluves de crème solaire qui me remontent dans les narines et je ne peux m’empêcher d’avoir une vision de plage, d’avion ou de carte postale d’un pays lointain. Même si on envoie maintenant des courriels plutôt que des cartes, et qu’on peut aussi prendre des vacances de ski à la montagne en plein hiver.