Peu à peu nos chemins se sont éloignés. Au début, on a fait comme si de rien était, puis on s'est rendu compte que plus le temps avançait, plus le fossé qui nous séparait devenait de plus en plus grand.
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Tu seras toujours comme mon fils…
Tu étais comme mon fils. Je t’ai aimé comme tel. Et je t’aime encore de cette même manière. J’étais comme ta deuxième maman. Je crois l’être encore. Tu étais dans ma vie 5-2-5, ton papa et ta maman comprendront. C’était beaucoup de temps où je m’occupais de toi. Beaucoup de temps passé ensemble, à évoluer ensemble dans la vie. Je t’ai appris des choses et toi tu m’en as apprises encore plus. On avait nos petites traditions. Trois ans à vivre ensemble, c’est assez pour accumuler de beaux grands souvenirs. Je m’ennuie, je ne te le cache pas. Nos habitudes aussi. À l’Halloween, on décorait l’extérieur de la maison et…
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Je suis un homme, mais humain avant tout
On parle souvent des mères qui se séparent et qui doivent assumer l'éducation de leurs jeunes enfants, mais on parle peu des pères qui doivent composer avec l'absence dans la vie de leurs plus grandes fiertés.
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Redevenir solo, perdre son rôle de belle-mère
Maintenant, je construis ma vie en solo, j’ai des projets, je me sens bien dans mon appartement que j’ai mis à mon goût et je regarde l’avenir la tête haute et le cœur libre.
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Chère Béatrice…
Ta musique, je la connais par cœur. Pis je l’aime profondément. Ta vie personnelle, je ne la connais qu’à partir de tes publications sur les réseaux sociaux. Des publications parfois émotives quand tu exprimes tes sentiments, parfois fières lorsque tu nous présentes tes réalisations, souvent craquantes quand tu partages la vedette avec ta belle Romy, tantôt inspirantes quand tu parles de tes angoisses et de ta façon d’essayer de les gérer.
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Conflit de séparation
C’est moi qui suis partie, suite à de la violence conjugale psychologique et légèrement physique. Il était temps que je m’écoute et que je sorte les enfants de cette relation malsaine.