J’aimerais vieillir dans un monde où chacun a sa propre définition de la beauté et de la perfection. Un monde où la perfection n’est pas définie par un standard, mais bien par des milliers, voire même un infini de standards. Un monde où les complexes sont personnels et non une affaire de société. Un monde où les humains priment sur l’enveloppe corporelle. Un monde où tout est accessible de manière égale. Un monde où seule la santé a le droit de donner son opinion sur un corps.