Aujourd’hui, quand je repense à cet accident, je me trouve chanceuse. Je n’ai pas été blessée et je vais bien. J’ai quelques fois la frousse quand vient le temps de tourner à gauche en voiture, mais ça va.
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Les chroniques d’une hyperactive au repos forcé : les sensations nouvelles
Des terminaisons nerveuses semblent avoir été atteintes lors de l’opération puisque j’ai souvent l’impression d’avoir la plante de pied en feu lorsque je la sollicite plus longtemps.
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Les chroniques d’une hyperactive au repos forcé : le diagnostic
Il ne faut que quelques secondes à l’infirmière pour saisir l’étendue des dégâts causés par ma chute. Le bandage maison, fait à la garderie, n’est pas assez gros pour cacher ce qu’elle semble détecter tout de suite : ma cheville est croche.
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Les chroniques d’une hyperactive au repos forcé : la chute
C’était un lundi matin comme les autres. Banal, routinier, sans surprises. Rien de suspect au réveil ou dans les minutes suivantes pour me faire comprendre que ça pouvait être une journée de marde.
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Je suis tombée dans des ordures, parce que je textais
La leçon de tout cela, c’est que maudit que je ne vais plus marcher en regardant mon cellulaire. NON. C’est fini. Ça semble anodin, mais j’étais certaine que ma hanche était cassée. Finalement, je n’ai eu qu’un immense bleu, une cheville foulée et une canne pendant 1 semaine.
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Mon expérience suite à l’accident à mon pied : Le quotidien
Je n’étais pas en mesure de faire des repas très compliqués puisque je ne pouvais rester debout trop longtemps. Je ne pouvais pas sortir si j’avais plusieurs sacs ou autres à transporter. Au fil des jours, je me suis adapté et j’ai trouvé des solutions pour rendre mon temps à la maison plus facile.
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11 Août 2004 : Une journée gravée dans ma mémoire
Lorsque je suis au volant, je m’arrange pour me tenir le plus loin possible des camions et même faire le moins de dépassement possible. En revanche, lorsque je suis la passagère, je dois fermer mes yeux pour ne pas voir les camions près de la voiture.