Assise sur le canapé, j’regarde mon bébé qui est en train de jouer. La vision embrouillée par les larmes. J’me sens impuissante face à tous ces drames
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Les chroniques d’une hyperactive au repos forcé : le plateau qui ralentit tout
Parce que oui, dès le début de notre travail ensemble, Emmanuel m’a bien averti que je ferais de bons progrès au début, mais que j’allais atteindre ce fameux plateau. Celui qui se dresse devant moi et m’empêche de me rapprocher de ma note parfaite.
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Les chroniques d’une hyperactive au repos forcé : les sentiments contradictoires
Après une accalmie où, contre mauvaise fortune bon cœur, j’ai accepté la situation avec optimisme, je passe maintenant par une nouvelle phase : celle des sentiments contradictoires.
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Les chroniques d’une hyperactive au repos forcé : la lenteur de la guérison
Les jours suivants se sont passés dans une sorte de lenteur. Mon quotidien oscillait toujours entre le repos, l’exaspération, la colère, la résignation, la douleur, les nuits agitées, le sevrage d’antidouleurs, la lecture, l’écriture, la télévision, et surtout beaucoup trop de temps sur les réseaux sociaux.
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Je suis tombée dans des ordures, parce que je textais
La leçon de tout cela, c’est que maudit que je ne vais plus marcher en regardant mon cellulaire. NON. C’est fini. Ça semble anodin, mais j’étais certaine que ma hanche était cassée. Finalement, je n’ai eu qu’un immense bleu, une cheville foulée et une canne pendant 1 semaine.
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Mon expérience suite à l’accident à mon pied : Le quotidien
Je n’étais pas en mesure de faire des repas très compliqués puisque je ne pouvais rester debout trop longtemps. Je ne pouvais pas sortir si j’avais plusieurs sacs ou autres à transporter. Au fil des jours, je me suis adapté et j’ai trouvé des solutions pour rendre mon temps à la maison plus facile.
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Je ne l’ai jamais dénoncé, jamais pardonné et jamais oublié
Pourquoi je ne l’ai jamais dénoncé? J’ai cru que c’était ma faute. J’ai eu peur que ma famille souffre. J’ai eu peur qu’on ne m’aime plus. J’ai eu peur de devoir en parler. J’ai cru l’avoir pardonné un jour. En fait, c’est à moi que j’ai pardonné. Pour lui, eux, le pardon n’est aucunement envisageable. Je n’ai oublié aucun détail, aucun coup, aucun cri, aucune douleur, aucune blessure. Je vis avec ce souvenir qui fait mal à chaque fois.