Il y a 14 ans, quand nous nous sommes rencontrés, Tinder n’existait pas. Il y avait bien le site Do you look good et le défunt MSN, mais nous n’avons jamais tenté l’expérience ni l’un ni l’autre. À l’ère des réseaux sociaux, nous avons eu envie de savoir comment se déroule la chasse au candidat potentiel dans la jungle du célibat.
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À toi qui pense que l’amour t’a lâché
Tu es peut-être la personne qui pense battre son propre record de célibat. Tu es peut-être la personne qui a vécu une rupture, un divorce ou une perte douloureuse. Tu es peut-être la personne qui vit une relation qui avance à deux pas en avant pour reculer de trois pas en arrière. Dans le fond, tu vis une relation compliquée.
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Lettre à une célibataire endurcie
Il y a un an, j’étais comme toi : bien sans les hommes, heureuse et très indépendante. Il y a un an, j’écrivais même un article pour ce blogue disant que y’avait rien là être célibataire parce que j’étais dont bien dans ma vie. Je ne croyais plus à l’amour, celui qui s’écrit avec un gros A majuscule en caractère gras pis qui te donne des papillons dans l’estomac.
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C’est moi ou c’est toi?
On dit souvent que l’on recherche ce que l’on croit mériter, ce qui me fait toujours un peu réfléchir à comment je me perçois moi-même. Est-ce que j’ai une bonne opinion de ma personne? Est-ce que je crois que je mérite l’amour autant que n’importe qui d’autre? Est-ce que je crois pouvoir satisfaire et être suffisante pour combler quelqu’un?
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J’préfère dormir solo
J'ai une confession à faire; j'préfère dormir en solo. Je pense que ça toujours été comme ça, mais que depuis que j'habite seule depuis quelques années, que mon matelas a empreigné ma forme étoilée dans sa mousse, je trouve ça de plus en plus difficile dormir avec quelqu'un.
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Dis-moi comment tu dates, je te dirai qui tu es
L’immense buffet que représente les réseaux de rencontre de nos jours, ne me fait pas saliver au point de penser plus grand que ma panse. (...) Je constate que c’est maintenant difficile pour la plupart des gens de fonctionner de la sorte. On me l’a exprimé à plusieurs reprises; de la part de ces hommes qui ne savent pu où donner de la tête devant la possibilité de swiper facilement la prochaine sur la liste, et de ces femmes qui, dévastées, me racontent qu’elles se sont fait avoir par un autre « fuckboi »!
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Mes dates anxiogènes
Je déteste les first dates. Pas juste une «C’est normal d’être un peu stressée et inconfortable, c’est de même pour tout le monde» haine, mais beaucoup plus du genre que je ne suis pas capable de fonctionner en société et qu’il y a des bonnes chances que j’fasse une attaque de panique sur le trajet vers la dite date.
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La fois où j’voulais un one-night
Je n’ai jamais eu de one-night, jamais même frenché un inconnu non plus. Je me suis assagie très rapidement dans la vie et je suis devenue une adulte très vite. J’ai aussi été en couple beaucoup plus souvent que j’ai été célibataire. Et les fois où j’étais seule, mes relations sexuelles consistaient beaucoup plus à de bons amis et à des fréquentations ainsi que des périodes simplement d’abstinence.
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Chimie nucléaire
Ce n’est pas que je ne crois en rien, c’est plutôt que chaque fois que je décide d’ouvrir cette partie de mon être, je finis toujours par le regretter. Il n’est pas amer, seulement salé. Facile à dire, car je ne fais que pleurer. C’est triste de voir un homme heureux et dégager autant d’énergie positive un jour et le lendemain, être aussi sombre et lugubre qu’un abysse.
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Ma relation amour-haine avec les applications de rencontre
Il est difficile pour moi de développer un intérêt pour tes études, la journée que tu viens de passer et tout ton small talk. J’me doute bien que pour avoir de grosses conversations, il faut commencer par les petites mais y’a quelque chose de vraiment pas naturel pour moi dans le fait d’essayer de bâtir une relation à partir d’une photo de toi en chest et d’une autre avec tes chums de gars.