Lorsque je me lève chaque matin, mon corps met près d’une demi-heure à se réchauffer. Je me plais à dire qu’un voleur aurait facilement le dessus sur moi en cas d’invasion à domicile matinale parce que je serais incapable de me sauver.
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Les chroniques d’une hyperactive au repos forcé : les sensations nouvelles
Des terminaisons nerveuses semblent avoir été atteintes lors de l’opération puisque j’ai souvent l’impression d’avoir la plante de pied en feu lorsque je la sollicite plus longtemps.
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Les chroniques d’une hyperactive au repos forcé : le plateau qui ralentit tout
Parce que oui, dès le début de notre travail ensemble, Emmanuel m’a bien averti que je ferais de bons progrès au début, mais que j’allais atteindre ce fameux plateau. Celui qui se dresse devant moi et m’empêche de me rapprocher de ma note parfaite.
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Les chroniques d’une hyperactive au repos forcé : la chute
C’était un lundi matin comme les autres. Banal, routinier, sans surprises. Rien de suspect au réveil ou dans les minutes suivantes pour me faire comprendre que ça pouvait être une journée de marde.
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DÉPRESSION : L’appréhension
Je savais que quelque chose clochait dans ma tête. C'est ma tête qui était malade et qui rendait malade mon corps. Mais j'avais la certitude qu'un arrêt de travail ou une thérapie, ce n'était pas nécessaire. J’étais sur qu'avec le temps j'irais mieux, mais non. Je n'ai pas écouté mon corps et il m'a lâché. J'ai dû me rendre au bout du rouleau pour accepter de l'aide.