Non. Mes bobos ne se voient pas. Mais ils sont là. Pas toujours, mais, tu sais, mes bobos font partie de moi. Mes bobos sont, pour la plupart, permanents et je les accepte maintenant. Ils ne me définissent pas en tant qu’humaine. Mais ils sont là, jamais loin, des fois petits, des fois gros. Pis c’est ben correct.
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Les chroniques d’une hyperactive au repos forcé — Douleurs différentes, sentiments pareils
uand tu es en arrêt de travail, les autres croient à tort que tu es en vacances et que tu profites pleinement du temps passé à la maison.