Pour terminer, je trouve que ce guide est vraiment « de base ». Il est bien pour éviter qu’un ado « se mette dans marde » financièrement, cependant, il évite de parler des choses qui permettront plus tard une vraie liberté financière, soit l’investissement, l’accumulation d’actifs de valeur et la génération de revenus passifs.
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J’ai travaillé quatre ans dans un aréna et j’ai beaucoup d’anecdotes!
J’ai commencé à travailler dans un aréna en 2008 et ce fût réellement l’emploi étudiant que j’ai le plus aimé. Mon premier hiver, je travaillais le samedi. Mon emploi consistait à surveiller la patinoire, gérer les gradins, remplir le tableau des matchs et entraînements, procurer les premiers soins, etc. On était une super belle gang et j’ai fait la rencontre de beaucoup de gens.
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Faire un travail que j’aime
Dans la dernière année, j'ai vécu beaucoup de changements qui m'ont permis d'en apprendre davantage sur moi, mais j'ai également appris à m'écouter et à suivre mon instinct et mes envies. C'est faux de croire que l'on ne peut pas vivre de notre passion. Quand on trouve ce qu'on aime et ce pour quoi on a du talent, il est possible d'en faire son travail, sa carrière, sa vie. Dans le fond, il suffit de s'écouter et de croire en soi.
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Respect, malgré l’achalandage
D’une part, j’aimerais d’emblée dire que je choisis de garder un emploi en service à la clientèle, alors que j’en occupe un autre, dans un autre domaine complètement différent. Par le fait même, ma situation, dans laquelle je choisis de garder cet emploi et donc, dans laquelle je pourrais choisir, sans trop de conséquences de le quitter, fait de moi quelqu’un de privilégié, en ce qui concerne cette situation
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Le travail, ma deuxième maison
Le but premier de travailler, c'est de faire un métier que j'aime, que j'ai choisi. Agrémenté de gens merveilleux, cela semble encore plus facile. Entrer le matin sans avoir l'impression d'aller travailler, c'est vraiment un sentiment inexplicable. Se sentir dans ses vieilles pantoufles le matin, entourée d'une gang extraordinaire, ça n'a pas de prix!
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16 paires d’yeux et un cœur comblé
Me rendre à mon armoire, au fond du local est une course à obstacles parsemée de câlins, de cris de joie, de petites mains qui veulent se faire prendre ou d’yeux qui cherchent mon regard.
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Parc St-Victor
J’ai appris énormément de chacun d’entre vous et je ne peux m’empêcher d’avoir un petit pincement dans l’estomac quand je vois à quel point vous êtes rendus grands. Vous n’êtes pas tous dans mon Facebook, mais pour ceux qui le sont, je suis tellement fière de vous.
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J’aime pas la routine
C’est pas mal un mix très nocif pour ma part, puisqu’avoir de nouvelles idées et se désintéresser rapidement ne riment pas avec persévérance. Je suis donc souvent confrontée à vouloir abandonner des projets, aller dans d’autres directions et ne plus éprouver de plaisir plutôt rapidement. Bref, j’aime pas la routine. Alors mettons que t’entends un gros rire gras de la vie quand tu sais que ce qui t’aiderait à t’organiser quotidiennement, ça serait de te créer une routine.
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D’la marde, je me gâte
Travailler fort tous les jours pour se payer l’un ou l’autre. Faire face aux imprévus qui viennent faire un trou dans le bas de laine que tu t’efforces de tricoter, une maille à la fois, les yeux bandés et une main dans le dos. Parce que tu le sais que la laine coûte un bras pis qu’économiser est aussi difficile que le tricot pour quelqu’un qui ne manie pas souvent les aiguilles.