Il y a un an, j’étais comme toi : bien sans les hommes, heureuse et très indépendante. Il y a un an, j’écrivais même un article pour ce blogue disant que y’avait rien là être célibataire parce que j’étais dont bien dans ma vie. Je ne croyais plus à l’amour, celui qui s’écrit avec un gros A majuscule en caractère gras pis qui te donne des papillons dans l’estomac.
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Qui es-tu?
Toi qui me fais perdre ma raison d’être Toi qui me fais rêver dans mes nuits Et toi qui hantes souvent mon esprit
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Eutopie à Huttopia
Dans mes souvenirs, je nous aperçois, bien emmitouflés dans des couvertures de laine, autour du feu. Il me semble encore entendre le crépitement des bûches de bois, sentir la chaleur qui nous enveloppait, humer l’odeur des guimauves grillées et surtout, ne jamais quitter des yeux la danse rythmée des flammes orangées qui s’offraient en spectacle.
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Je ne suis pas voisineuse
Je suis plutôt l’antisociale par excellence dans toute la superficie du quartier où j’ai élu domicile. Et c’était la même chose lorsque j’étais en appartement. La fille la plus tranquille du bloc. Celle qui ne se mêle de rien, qui ne veut pas de contact ou d’échanges verbaux sur la pluie et le beau temps et qui préfère aller à l’épicerie à 22 h le soir plutôt que d’aller cogner chez sa voisine de palier pour lui demander une tasse de sucre.
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J’aimerais ça comprendre l’amour qui s’effrite
Certains diront que les sentiments amoureux ont évolué en autre chose, que l’amour n’était plus au rendez-vous. Mais il avait rendez-vous avec qui alors ? Où est-il passé ? Comment le cerveau se programme pour changer les sentiments que l’on porte à l’autre pour les transformer ou simplement les effacer de son disque dur ?
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Bébé ange
Ce sont ces grandes ailes d’ange Qui te portent, mon bébé ange Ils ont la douceur de mes bras Pour te bercer dans l’au-delà
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L’argent qu’on voudrait multiplier, mais qui nous divise
Depuis 13 ans, c’est l’argent qui fait sortir le pire en nous. C’est lui aussi qui s’immisce insidieusement dans notre quotidien et nous rend la vie parfois très dure. C’est la plus grande source de stress à laquelle nous sommes confrontés, et c’est surtout compliqué de dealer avec l’argent quand les imprévus viennent souffler un vent de panique sur notre vie, déjà parfois si chaotique.
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Je vis dans le passé
Bien sûr, en cours de route, se sont rajoutés au groupe leurs partenaires de Vie et d’autres personnes que j’ai croisées dans ma vingtaine, mais essentiellement, quand l’on se retrouve ensemble, nous sommes encore les enfants que nous étions ! Fous rires garantis. Mes relations avec eux sont une fontaine de Jouvence dans ma Vie. Auprès de ces personnes importantes, et dans leurs yeux, je me sens et me vois comme immortelle. Inaltérable à l’érosion des années. Inépuisable.
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Retour aux sources : Mon voyage au Nouveau-Brunswick
Le temps passé là-bas m’a fait comprendre et réaliser certaines choses à propos de moi et m’a permis de découvrir ce que je désirais obtenir dans le futur. Avant, je faisais souvent passer mon travail et mes objectifs de carrière avant plusieurs autres aspects de la vie comme la famille, les amis et d’autres sphères importantes de tous les jours. Sans mettre de côté mon désir d’avoir une belle carrière et des ambitions, j’ai pris conscience que j’allais pouvoir être une mère tout en ayant des projets de vie et en restant sur le marché du travail.
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Notre 1ère année : Nos coups de coeur
Le 15 septembre, Folie Urbaine soufflera sa première chandelle. Que de choses et d'émotions vécues en une année, c'est tout simplement incroyable. Des hauts et des bas, des joies et des déceptions, mais surtout du gros bonheur et beaucoup d'apprentissage.