Ces textes, je les ai écrits avec toute ma vulnérabilité et mon honnêteté. Sans vraiment savoir si t’allais aimer me lire, mais en sachant qu’à moi, ça ferait du bien.
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Les chroniques d’une hyperactive au repos forcé : plus rien n’est pareil
Lorsque je me lève chaque matin, mon corps met près d’une demi-heure à se réchauffer. Je me plais à dire qu’un voleur aurait facilement le dessus sur moi en cas d’invasion à domicile matinale parce que je serais incapable de me sauver.
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Les chroniques d’une hyperactive au repos forcé : les limitations avec lesquelles je devrai vivre
Mon corps a ses limites quand même. Comment tout peut revenir à la normale quand la mécanique de mon pied est à jamais changée?
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Les chroniques d’une hyperactive au repos forcé : le retour progressif au travail
e devais reprendre le travail de manière progressive, c’est-à-dire faire 4 heures de travail régulier, mais sans faire des journées consécutives. C’est un peu complexe comme horaire,
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Les chroniques d’une hyperactive au repos forcé : 3 saisons dans le désordre
Quand je suis tombée en novembre dernier, nous étions en plein cœur de l’automne, malgré une neige plutôt hâtive cette année. Les feuilles venaient à peine de se poser sur le sol après leur festival de couleurs que les flocons venaient les ensevelir.
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Les chroniques d’une hyperactive au repos forcé : les sensations nouvelles
Des terminaisons nerveuses semblent avoir été atteintes lors de l’opération puisque j’ai souvent l’impression d’avoir la plante de pied en feu lorsque je la sollicite plus longtemps.
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Les chroniques d’une hyperactive au repos forcé : le plateau qui ralentit tout
Parce que oui, dès le début de notre travail ensemble, Emmanuel m’a bien averti que je ferais de bons progrès au début, mais que j’allais atteindre ce fameux plateau. Celui qui se dresse devant moi et m’empêche de me rapprocher de ma note parfaite.
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Les chroniques d’une hyperactive au repos forcé : le poids de moins sur mes épaules
Je suis passée par une gamme d’émotions, mais c’est quand même principalement moi qui les ai vécues. Alors, je crois que c’est pour ça, à la base, que j’ai commencé à me confier ici : ça me faisait du bien d’extérioriser mes émotions quelque part.
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Les chroniques d’une hyperactive au repos forcé : revoir ceux qui nous manquent
Mais j’ai maintenant décidé de profiter de ces longues journées tranquilles pour faire des choses que je n’ai habituellement pas le temps de faire.
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Les chroniques d’une hyperactive au repos forcé : me réapproprier mon corps
Je veux seulement être à la hauteur de mes ambitions. Être bien dans mon corps, dans ma tête, dans mon cœur et dans ma vie en général.