J’ai la chienne de dépendre des autres pour manger, boire, aller aux toilettes. J’espère ne pas vivre l’humiliation des couches, finir ma vie sans être autonome de mon papier cul et de la gestion de mes bobettes me plonge dans un inconfort indescriptible.
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Otage du métier de préposé aux bénéficiaires
Les maladies et les conditions physiques des patients s’alourdissent. Le personnel ne suffit pas à la tâche, qui augmente sans cesse, et la cadence doit être constante et soutenue malgré le personnel en moins.