Ce qui me plaît de ce recueil est l’aspect éducatif jumelé aux visuels, ce qui rend l’apprentissage attrayant! Je l’avoue, mes enfants sont encore très jeunes pour saisir l’ensemble des propos tenus dans ces pages, mais ils questionnent beaucoup et développent leur curiosité.
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La grève des câlins, elle termine quand?
Au printemps dernier, lorsque le virus a modifié notre façon de vivre, Simon Boulerice a su, le temps d’un conte, mettre un petit baume sur nos coeurs en mettant en mots, un des grands maux que vivaient plusieurs familles. La grève des câlins a fait échos dans le cœur des Québécois et son conte s’est vite transformé en livre.
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Clovis a peur des nuages
Clovis a peur des nuages. Des petits nuages. Des gros nuages. Des nuages blancs. Des nuages gris. Des nuages noirs. Des nuages ronds. Des nuages longs.
- Charline Ibarra, Collaborations, Critique littéraire, Culturel, Folie critique, Intime, Littérature jeunesse, Tous les articles
Lectures jeunesse des Éditions de la Bagnole
Supergroin contre les infâmes mitaines. Carole Tremblay et Bach forment une équipe dynamique et talentueuse. Troisième de la série de Supergroin, que je ne connaissais d’ailleurs pas du tout, je suis embarquée dans leur Univers dès la première page! Pour mon coeur d’enfant qui a toujours adoré les bandes dessinées, telle qu’Archie, Boule & Bill ou Tintin, je me suis retrouvée au beau milieu d’une histoire rocambolesque, rafraîchissante et loufoque! Les onomatopées m’ont charmé; elles ont donné un rythme particulier à l’histoire et surtout m’ont gardé sur le qui-vive du début à la fin. Supergroin apparaît dans un casier et nous emmène dans un récit hilarant avec Toinette une jeune…
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Ma jeunesse à Montréal Partie 2. – les années 90
Étant maintenant en banlieue, Montréal est une oasis, une ressource, où je retourne lorsque j'ai la nécessité de refaire un plein.
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Ma jeunesse à Montréal Partie 1 – les années 80
À l’heure de la récréation, je cours vers l’immense arbre qui se trouve dans le fond, près de la clôture. J’aime bien sentir ses écorces sous mes paumes. Je marche sur ses grosses racines et tourne autour de lui, en chantant des comptines. Il me fait du bien. Je ressens sa vieille âme, son vécu, je communique avec le seul bout de nature qui existe dans notre cour d’école.