J'ai réalisé que j'étais très bien avec moi-même. Et les miens, c'est-à-dire mon chum et mon fils. Que je n'avais besoin de personne de plus dans mon quotidien pour être heureuse et comblée.
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Raviver ma flamme
Ça fait quelques années que je me sens éteinte. Que j’ai l’impression de juste prendre soin de moi, de travailler sur mon mental et tous mes petits bobos. Juste penser tout le temps, mais sans réellement vivre. Avec l’été qui arrive et cette immense sensation de solitude, j’ai envie de raviver ma flamme.
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Je ne me suis jamais sentie aussi seule
La vie reprend son cours tranquillement. On voit les assouplissements s’établir un à un. Les gens recommencent à se voir, se fréquenter, s’organiser des sorties. Je suis spectatrice des retrouvailles des autres.
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Les jours passent mais restent pareils
Vivre seule au temps du covid-19, c’est une grosse gang de personnes comme moi qui trouve ça rushant de n’avoir personne près d’eux et de trouver chaque jour qui passent un peu trop pareil que la veille. À toutes les personnes qui feelent un peu comme moi, je vous dis que vous n’êtes pas seules. Pis chaque statut Facebook que je vois passé sur les personnes vivant seules me donne le courage de terminer ma journée sans trop pleurer dans mon coin.
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Cette solitude qui nous pèse
C’est une période de notre vie qui nous paraît interminable, une période des plus difficiles mais un jour on comprend qu’elle était nécessaire à une belle vie remplie de joie et d’amour.
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J’ai besoin de personne pour faire des choses
Alors que lui ne faisait aucune activité seul, moi, je n’ai jamais ressenti le besoin d’être constamment avec quelqu’un pour vivre mes expériences.
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Célibataire? Tu vas finir par trouver quelqu’un pour te rendre heureuse
Est-ce qu’on peut arrêter de mettre les personnes qui ne sont pas en couple sous un spotlight fluorescent ? Mettons que moi le carrosse avec le fanion ‘’Célibataire’’ au IGA, ben je m’en crisse pas mal ?
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Seule, mais en groupe
Debout, je me tiens droite. Je suis au centre de la cafétéria. Mes amis sont autour de moi et discutent entre eux. Une vague dramatique m’engloutit. Rien ne sort de ma bouche ; le courant est lent, les mots sont morts.
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J’habite seule
Le silence, c’est tout ce qui m’accompagne dans mon appartement. Je dois traverser la porte pour avoir des contacts humains. Je m’y habitue. Pis dans l’fond, j’aime ça comme ça!
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Seule
J’ai eu mal. J’ai encore mal. Mais j’ai arrêté de survivre. J’ai décidé que j’allais vivre et je construirai chaque morceau de chaque journée, seule.