Les 12 et 13 mai derniers, Jennifer et moi avons été invitées à vivre une petite escapade de 24h au Parc de la Gorge de Coaticook pour le lancement de la saison 2022 d’Hôtel UNIQ. C’est un concept vraiment intéressant et différent en termes d’hébergement pour la saison estivale. Quand on arrive sur le site, on voit un petit village qui rassemble 15 unités d’hébergement disponibles en plus d’une aire commune.
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J’ai souvent l’impression de déranger en étant moi-même
Moi, j’accepte mon physique tel qu’il est. Mais je sais que je dérange et que les gens trouvent que je fais dur, que je ne prends pas soin de moi. Je ne crois pas qu’on puisse juger une personne sur son physique. On a trop tendance à voir des femmes qui sont parfaites, bien accoutrées, maquillées et coiffées à la perfection. Tant mieux pour ces femmes qui sont tout aussi magnifiques.
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Ce masque, plus qu’une protection contre la maladie
Le masque me procure une certaine sécurité, une barrière entre les autres et mon apparence dentaire. Je peux souffler et ne pas avoir à stresser à cause du regard de la personne avec qui je parle.
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Raviver ma flamme
Ça fait quelques années que je me sens éteinte. Que j’ai l’impression de juste prendre soin de moi, de travailler sur mon mental et tous mes petits bobos. Juste penser tout le temps, mais sans réellement vivre. Avec l’été qui arrive et cette immense sensation de solitude, j’ai envie de raviver ma flamme.
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Trois romans graphiques à découvrir
Les romans graphiques, ce sont des œuvres que j’aime beaucoup. J’ai l’habitude d’en lire régulièrement, entre des romans, pour varier mes lectures, mais surtout pour m’évader en images. Un roman graphique, c’est une histoire appuyée par des images. Les trois que je vous présente ici sont puissants et abordent des sujets tels que les troubles alimentaires, le deuil, les ruptures, les émotions, etc.
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Je ne me suis jamais sentie aussi seule
La vie reprend son cours tranquillement. On voit les assouplissements s’établir un à un. Les gens recommencent à se voir, se fréquenter, s’organiser des sorties. Je suis spectatrice des retrouvailles des autres.
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Un appel, chaque matin
. Le fait de lui parler chaque matin est une tradition que je ne suis pas prête à arrêter. J’ai passé ma vie à craindre de perdre mon père. La maladie est dans nos vies depuis presque aussi longtemps que je suis née. Mais depuis quelques années, je profite beaucoup plus et la peur prend beaucoup moins de place.
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Impuissante devant cette guerre
J’ai des frissons. J’ai les larmes aux yeux qui surgissent sans cesse. J’ai le cœur à l’envers. J’ai la peur au ventre. Je me sens tellement impuissante face à cette guerre, une guerre qui est si loin, mais si proche à la fois. Je vois la détresse humaine sur mes écrans et je ne peux rien faire. Le monde entier a le cœur en miettes, le monde entier a le cœur en Ukraine.
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La peur au ventre
Aujourd’hui. Ma ville me fait peur. Demain peut-être, l’espoir reviendra. Mais il reste encore trop à faire pour y arriver. Continuons d’en parler, de nous sensibiliser et de nous battre contre cette violence. Soyons unis pour que la paix revienne.
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Dans mes rêves, je sais voler
Dans mes rêves, je sais voler. Du plus loin que je me souvienne, j’ai toujours réussi à voler dans mes rêves. Sans ailes. Je me concentre très fort, je ferme très fort les poings et j’arrive à flotter et à me déplacer. C’est con, mais ça me fait du bien de voler, de juste quitter le sol et flotter dans les airs, de ne plus sentir le poids de mon corps, d’être légère et de cohabiter avec l’air.