Mais j’appréciais ce que j’avais et mon regard brillait à l’idée de reprendre une vie normale. Habituellement, je déteste faire l’épicerie, mais ce jour-là, ça m’a semblé une activité des plus agréable et surtout, j’étais fière de mes progrès.
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Les chroniques d’une hyperactive au repos forcé : la routine s’installe toujours malgré tout
Parfois si réconfortante, mais aussi capable de nous faire douter de nos choix, de notre quotidien et de notre avenir. C’est une arme à double tranchant redoutable, qui fait peur par sa rapidité à s’installer sans même qu’on s’en rende compte. Dire qu’il nous arrive de la créer nous-même en pensant que c’est ce dont nous avons besoin.
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Les chroniques d’une hyperactive au repos forcé : le grand jour… ou presque
Bref, ce jour-là, je suis vraiment impatiente de savoir ce qui m’attend et j’ai vraiment l’impression que ça y est. Je vais enfin pouvoir marcher, retrouver ma liberté et reprendre ma vie où je l’ai laissée, il y a 52 jours.
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Les chroniques d’une hyperactive au repos forcé : les sentiments contradictoires
Après une accalmie où, contre mauvaise fortune bon cœur, j’ai accepté la situation avec optimisme, je passe maintenant par une nouvelle phase : celle des sentiments contradictoires.
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Les chroniques d’une hyperactive au repos forcé : passer à côté de l’effervescence des Fêtes
Alors que je croyais être rétablie juste à temps pour enfiler ma robe à paillettes, cuisiner des biscuits, faire la tournée des magasins pour trouver les plus beaux cadeaux, organiser de beaux repas avec ceux que j’aime, admirer les décorations extérieures le soir en me promenant en voiture et jouer dans la neige avec mon fils, c’est plutôt à m’apitoyer sur mon sort que je passe le mois de décembre cette année.
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Les chroniques d’une hyperactive au repos forcé : la lenteur de la guérison
Les jours suivants se sont passés dans une sorte de lenteur. Mon quotidien oscillait toujours entre le repos, l’exaspération, la colère, la résignation, la douleur, les nuits agitées, le sevrage d’antidouleurs, la lecture, l’écriture, la télévision, et surtout beaucoup trop de temps sur les réseaux sociaux.
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Les chroniques d’une hyperactive au repos forcé : les premiers jours
Après l’opération, dont je ne garde qu’un vague souvenir, heureusement, j’ai vite compris que je n’allais pas pouvoir remarcher normalement de sitôt. La douleur est vite apparue après la disparition des derniers bienfaits de l’anesthésie.
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La fois où… j’ai subi une réduction mammaire – partie 1
L'idée de subir une réduction mammaire me trotte dans la tête depuis plusieurs années. Pour diverses raisons, j'ai toujours mis ce désir de côté et j'ai même été quelques années sans l'envisager sérieusement.
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Mon amour pour le Black Friday
C'est ma journée à moi. C'est pratiquement l'une des seules fois de l'année où je vais dans un centre commercial.
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La fois où…j’ai décidé d’adopter le jeûne intermittent
Ayant beaucoup lu sur le jeûne intermittent, j'ai décidé de l'essayer. Question de voir si ça pouvait être un mode de vie adapté pour moi.