Je suis passée par une gamme d’émotions, mais c’est quand même principalement moi qui les ai vécues. Alors, je crois que c’est pour ça, à la base, que j’ai commencé à me confier ici : ça me faisait du bien d’extérioriser mes émotions quelque part.
-
-
Les chroniques d’une hyperactive au repos forcé : revoir ceux qui nous manquent
Mais j’ai maintenant décidé de profiter de ces longues journées tranquilles pour faire des choses que je n’ai habituellement pas le temps de faire.
-
Les chroniques d’une hyperactive au repos forcé : me réapproprier mon corps
Je veux seulement être à la hauteur de mes ambitions. Être bien dans mon corps, dans ma tête, dans mon cœur et dans ma vie en général.
-
Les chroniques d’une hyperactive au repos forcé : retrouver la liberté une étape à la fois
Mais j’appréciais ce que j’avais et mon regard brillait à l’idée de reprendre une vie normale. Habituellement, je déteste faire l’épicerie, mais ce jour-là, ça m’a semblé une activité des plus agréable et surtout, j’étais fière de mes progrès.
-
Les chroniques d’une hyperactive au repos forcé : la routine s’installe toujours malgré tout
Parfois si réconfortante, mais aussi capable de nous faire douter de nos choix, de notre quotidien et de notre avenir. C’est une arme à double tranchant redoutable, qui fait peur par sa rapidité à s’installer sans même qu’on s’en rende compte. Dire qu’il nous arrive de la créer nous-même en pensant que c’est ce dont nous avons besoin.
-
Les chroniques d’une hyperactive au repos forcé : la réadaptation
Lorsque j’arrive à la clinique, je ne sais pas du tout à quoi m’attendre à part bouger ma cheville pour faire en sorte qu’elle puisse retrouver sa mobilité et pour permettre à mon pied de revenir en parfait état.
-
Les chroniques d’une hyperactive au repos forcé : le grand jour… ou presque
Bref, ce jour-là, je suis vraiment impatiente de savoir ce qui m’attend et j’ai vraiment l’impression que ça y est. Je vais enfin pouvoir marcher, retrouver ma liberté et reprendre ma vie où je l’ai laissée, il y a 52 jours.
-
Les chroniques d’une hyperactive au repos forcé : les sentiments contradictoires
Après une accalmie où, contre mauvaise fortune bon cœur, j’ai accepté la situation avec optimisme, je passe maintenant par une nouvelle phase : celle des sentiments contradictoires.
-
Les chroniques d’une hyperactive au repos forcé : trouver le positif
Je suis en vie. Je n’ai pas une maladie grave et je serai sur pied dans un avenir rapproché et pourrai reprendre ma vie comme avant, avec un minimum de séquelle, je l’espère et surtout un mauvais souvenir à classer afin de passer à autre chose.
-
Les chroniques d’une hyperactive au repos forcé : passer à côté de l’effervescence des Fêtes
Alors que je croyais être rétablie juste à temps pour enfiler ma robe à paillettes, cuisiner des biscuits, faire la tournée des magasins pour trouver les plus beaux cadeaux, organiser de beaux repas avec ceux que j’aime, admirer les décorations extérieures le soir en me promenant en voiture et jouer dans la neige avec mon fils, c’est plutôt à m’apitoyer sur mon sort que je passe le mois de décembre cette année.