C’est lui qui m’écoute depuis le mois de mai. Chaque semaine, je fais le même chemin pour me retrouver assise sur cette même chaise devant cet homme qui m’aide à améliorer ma vie. Il m’a vue fâchée, triste, pleurer, en crise de panique. Il m’a accompagnée pour chaque étape durant ma dépression et mon arrêt maladie. Il m’accompagne encore, maintenant aux deux semaines.
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Ma zone grise
Ma zone grise me permet de me protéger. Rester dans le confort de mes opinions, de mes pensées. J’aime ma zone grise, elle me permet d’élargir mes horizons, de pousser mes réflexions et d'apprendre. Je partage rarement ma zone grise, trop de gens sont noirs ou blancs, on ne s’entend pas.
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La trilogie La Bête : puissant et addictif
Le personnage, c’est impossible de ne pas s’y attacher. Malgré ses gestes et ses opinions atroces, on apprend à l’aimer et on ne peut arrêter de lire. On veut toujours savoir ce qui va se passer. Ce que j’ai aimé, c’est que j’étais capable de m’imaginer les scènes, autant les lieux que les personnages et c’est quelque chose que j’apprécie grandement lorsque je lis un livre.
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Le poids des émotions
Je ne sais comment faire pour atténuer ce poids qui pèse lourd. Les médicaments ne font qu’alléger la souffrance. J’ai mal de temps à autre, au point de ne plus être en mesure de respirer ou juste de réussir à mettre un pied devant l’autre.
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Les méchant.es des réseaux sociaux
Je suis spectatrice de ces désastres et ça m’enlève l’envie de défendre mes opinions publiquement sur les médias sociaux. Je suis trop sensible. Cette carapace que tant de personnes que j’admire ont, je ne l’ai pas encore. J’ai déjà pleuré en lisant une suite de commentaires sous une publication où une femme s’est fait traiter de tous les noms et rabaisser juste parce que son opinion était différente, mais respectueuse et sans méchanceté. On le dit trop souvent: ton écran te protège, le dirais-tu si la personne était devant toi?
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Notre 1ère année : Nos coups de coeur
Le 15 septembre, Folie Urbaine soufflera sa première chandelle. Que de choses et d'émotions vécues en une année, c'est tout simplement incroyable. Des hauts et des bas, des joies et des déceptions, mais surtout du gros bonheur et beaucoup d'apprentissage.
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Dépression
À travers mes fondations, on a trouvé les traces du passé, des blessures, des cicatrices. J’avais toujours repeint par-dessus en me disant que ça cacherait un peu le laid. Je décorais souvent pour faire changement, mais surtout pour bien paraître, avoir l’air en santé, moderne. Mais les fissures ne tardaient jamais à devenir visibles. Un jour, j’ai manqué de plâtre et de peinture. C’était fini, je devais arrêter de patcher les défauts de ma structure.
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Ma magnifique famille recomposée
Je m’en souviens comme si c’était hier. J’étais tellement nerveuse, je ne crois pas avoir été aussi stressée de toute ma vie. «Et s’il ne m’aime pas?» était constamment dans ma tête. J’étais là, les mains moites et le cœur battant, et ce petit bout d’humain est venu ouvrir la porte de sa maison. Avec son habit de neige bleu marine et sa tuque, il m’a accueillie avec un gros sourire.
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Avantager ses formes
C’est lors de notre dernière séance photo que j’ai eu l’idée de cet article. Étant donné que j’ai une forte poitrine et des rondeurs avant, si les vêtements n’étaient pas stretch ou s’ils avaient des boutons, c’était l’enfer. Mes seins débordaient, je n’étais pas confortable et souvent, je finissais par pleurer dans la cabine d’essayage. Mais cet hiver, je me suis trouvée des trucs pour porter des vêtements trop petits ou avec des boutons, qui me donnent un beau look et me rendent confortable, et que j’applique depuis. Voici donc mes astuces pour ne plus remettre un vêtement que vous aimez follement sur le cintre.
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Cher Citalopram
Les semaines ont passé. J'ai commencé à me sentir mieux, à me dire que ça n’avait été qu'une mauvaise passe et que c'était maintenant fini. J'avais de nouveaux projets, de nouveaux amis, et je croyais que c'était la route de la guérison. En fait, je ne pensais pas être guérie, puisque je n'étais pas malade. Je me disais juste que c’était une mauvaise période, et que je l’avais surmontée.