• Karine therapie folie urbaine
    Bien-être,  Intime,  Karine Caron-Benoit

    Thérapie

    C’est lui qui m’écoute depuis le mois de mai. Chaque semaine, je fais le même chemin pour me retrouver assise sur cette même chaise devant cet homme qui m’aide à améliorer ma vie. Il m’a vue fâchée, triste, pleurer, en crise de panique. Il m’a accompagnée pour chaque étape durant ma dépression et mon arrêt maladie. Il m’accompagne encore, maintenant aux deux semaines.

  • karine zone grise
    Intime,  Karine Caron-Benoit

    Ma zone grise

    Ma zone grise me permet de me protéger. Rester dans le confort de mes opinions, de mes pensées. J’aime ma zone grise, elle me permet d’élargir mes horizons, de pousser mes réflexions et d'apprendre. Je partage rarement ma zone grise, trop de gens sont noirs ou blancs, on ne s’entend pas.

  • Critique littéraire,  Culturel,  Folie critique,  Karine Caron-Benoit

    La trilogie La Bête : puissant et addictif

    Le personnage, c’est impossible de ne pas s’y attacher. Malgré ses gestes et ses opinions atroces, on apprend à l’aimer et on ne peut arrêter de lire. On veut toujours savoir ce qui va se passer. Ce que j’ai aimé, c’est que j’étais capable de m’imaginer les scènes, autant les lieux que les personnages et c’est quelque chose que j’apprécie grandement lorsque je lis un livre.

  • Intime,  Karine Caron-Benoit

    Le poids des émotions

    Je ne sais comment faire pour atténuer ce poids qui pèse lourd. Les médicaments ne font qu’alléger la souffrance. J’ai mal de temps à autre, au point de ne plus être en mesure de respirer ou juste de réussir à mettre un pied devant l’autre.

  • Karine méchants Folie Urbaine
    Intime,  Karine Caron-Benoit

    Les méchant.es des réseaux sociaux

    Je suis spectatrice de ces désastres et ça m’enlève l’envie de défendre mes opinions publiquement sur les médias sociaux. Je suis trop sensible. Cette carapace que tant de personnes que j’admire ont, je ne l’ai pas encore. J’ai déjà pleuré en lisant une suite de commentaires sous une publication où une femme s’est fait traiter de tous les noms et rabaisser juste parce que son opinion était différente, mais respectueuse et sans méchanceté. On le dit trop souvent: ton écran te protège, le dirais-tu si la personne était devant toi?

  • karine depression folie urbaine
    Intime,  Karine Caron-Benoit

    Dépression

    À travers mes fondations, on a trouvé les traces du passé, des blessures, des cicatrices. J’avais toujours repeint par-dessus en me disant que ça cacherait un peu le laid. Je décorais souvent pour faire changement, mais surtout pour bien paraître, avoir l’air en santé, moderne. Mais les fissures ne tardaient jamais à devenir visibles. Un jour, j’ai manqué de plâtre et de peinture. C’était fini, je devais arrêter de patcher les défauts de ma structure.

  • karine famille recomposee folie urbaine
    Familiale,  Intime,  Karine Caron-Benoit

    Ma magnifique famille recomposée

    Je m’en souviens comme si c’était hier. J’étais tellement nerveuse, je ne crois pas avoir été aussi stressée de toute ma vie. «Et s’il ne m’aime pas?» était constamment dans ma tête. J’étais là, les mains moites et le cœur battant, et ce petit bout d’humain est venu ouvrir la porte de sa maison. Avec son habit de neige bleu marine et sa tuque, il m’a accueillie avec un gros sourire.

  • Inspiration mode,  Karine Caron-Benoit

    Avantager ses formes

    C’est lors de notre dernière séance photo que j’ai eu l’idée de cet article. Étant donné que j’ai une forte poitrine et des rondeurs avant, si les vêtements n’étaient pas stretch ou s’ils avaient des boutons, c’était l’enfer. Mes seins débordaient, je n’étais pas confortable et souvent, je finissais par pleurer dans la cabine d’essayage. Mais cet hiver, je me suis trouvée des trucs pour porter des vêtements trop petits ou avec des boutons, qui me donnent un beau look et me rendent confortable, et que j’applique depuis. Voici donc mes astuces pour ne plus remettre un vêtement que vous aimez follement sur le cintre.

  • citalopram karine folie urbaine
    Intime,  Karine Caron-Benoit

    Cher Citalopram

    Les semaines ont passé. J'ai commencé à me sentir mieux, à me dire que ça n’avait été qu'une mauvaise passe et que c'était maintenant fini. J'avais de nouveaux projets, de nouveaux amis, et je croyais que c'était la route de la guérison. En fait, je ne pensais pas être guérie, puisque je n'étais pas malade. Je me disais juste que c’était une mauvaise période, et que je l’avais surmontée.