Je ne devais pas revenir sur le sujet. J'avais bel et bien terminé ma série il y a quelques mois, convaincue d'être prête à tourner la page définitivement.
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Les chroniques d’une hyperactive au repos forcé — faire le deuil du corps que j’avais
Faire le deuil de quelque chose que t’as perdu, c’est propre à chacun de le vivre comme il l’entend. Et si ça m’a pris une série complète d’articles pour arriver à amorcer ce deuil une bonne fois pour toutes, ben ça sera ça.
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Les chroniques d’une hyperactive au repos forcé – La lumière au bout du tunnel
J’ai peu touché aux antidouleurs prescrits par mon orthopédiste mis à part quelques comprimés pour m’aider à mieux dormir lors des nuits difficiles. Pas question de parler avec mes fourchettes cette fois-ci et de ressentir des effets secondaires bizarres.
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Les chroniques d’une hyperactive au repos forcé — Retour à la case départ
Plus de 18 mois après la chute sur la glace qui allait tout changer, me revoilà ici, à reprendre cette chronique pour vous raconter pourquoi je reviens pratiquement au point de départ.
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Les chroniques d’une hyperactive au repos forcé… un an plus tard
Une année plus tard, les choses ont quelque peu changé. J’ai repris la routine qui m’essouffle. Celle qui fait en sorte que j’arrive à la maison le vendredi soir complètement à plat et qui me donne le blues du dimanche soir parce qu’il revient trop vite.
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Les chroniques d’une hyperactive au repos forcé : bilan et conclusion
Ces textes, je les ai écrits avec toute ma vulnérabilité et mon honnêteté. Sans vraiment savoir si t’allais aimer me lire, mais en sachant qu’à moi, ça ferait du bien.
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Les chroniques d’une hyperactive au repos forcé : plus rien n’est pareil
Lorsque je me lève chaque matin, mon corps met près d’une demi-heure à se réchauffer. Je me plais à dire qu’un voleur aurait facilement le dessus sur moi en cas d’invasion à domicile matinale parce que je serais incapable de me sauver.
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Les chroniques d’une hyperactive au repos forcé : les limitations avec lesquelles je devrai vivre
Mon corps a ses limites quand même. Comment tout peut revenir à la normale quand la mécanique de mon pied est à jamais changée?
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Les chroniques d’une hyperactive au repos forcé : le retour progressif au travail
e devais reprendre le travail de manière progressive, c’est-à-dire faire 4 heures de travail régulier, mais sans faire des journées consécutives. C’est un peu complexe comme horaire,