C’est en souriant du coin des lèvres et avec ses yeux que sa thérapeute lui avait annoncé qu’elle n’était pas bipolaire. Ni borderline. Et encore moins folle.
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Les yeux grands ouverts – L’Équateur (partie 4)
L’Équateur a été la piqûre qui me fit découvrir mon enivrement pour le choc culturel, le dépaysement et mon amour inconditionnel pour les mille et une nations qui peuplent ce magnifique monde qu’est le nôtre.
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Un déménagement
Un déménagement, il y a des mots remplis de connotations qui décrivent ce type de moment.
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Les yeux grands ouverts – L’Équateur (partie 3)
Même si la température est moindre et que les nuages sont omniprésents, en Équateur, l’intensité du soleil est dangereuse étant donné que le pays se situe sur la ligne équinoxiale, soit le point où le soleil frappe le plus fort.
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Les yeux grands ouverts – L’Équateur (partie 2)
Je n’ai peut-être jamais fréquenté les bars reconnus de la grande métropole durant mes années de minorité, mais je suis sortie en douce faire la fiesta dans un pays qui n’était pas le mien.
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Les yeux grands ouverts – L’Équateur (partie 1)
Dorénavant, retourner dans mon pays natal plus riche en cernes, mais spécialement en souvenirs, est devenu mon critère numéro un quand je voyage
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La fin de mon p’tit monde – Un journal de confinement – 4e partie
Je suis ce type d’enseignante qui sort de chez elle pieds nus pour aller piquer une jasette avec ses étudiants de sixième année qui ont parcouru dix minutes en bicyclette jusqu’à chez elle pour s’efforcer de retrouver un semblant de normalité.
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La fin de mon p’tit monde – Un journal de confinement – Partie 3
Cette demande me parut absurde, car un lieu ne peut pas disparaître en un claquement de doigts, mais pour eux, c’était du réconfort à l’état pur de voir que le tableau, leur chaise et leur bibliothèque n’avaient pas bougé d’un cran.
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La fin de mon p’tit monde – Un journal de confinement – Partie 2
Vous n’avez jamais vu des enfants aussi excités d’apercevoir la même plante présente dans leur salle de classe que dans ma chambre d’invités, devenue un bureau pour l’occasion.
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La fin de mon p’tit monde – Un journal de confinement – Partie 1
Le 12 mars 2020 sera gravé dans la mémoire de plusieurs pour le reste de leur existence. Dont la mienne.
