En ce 15 mars 2022, on peut se réjouir de voir la plupart des mesures sanitaires tomber, il ne reste que le masque qui suivra sous peu. Quel constat je fais deux ans plus tard?
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Joyeux confinement et bonne Covid
C’est ce que la COVID va nous avoir apporté de positif, au moins, de nous ramener aux sources.
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La loto de la pandémie
Après plus de 18 mois passés dans l’œil du cyclone que représente cette pandémie, c’est maintenant le temps de passer GO et réclamer 200 $.
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Ces visages masqués que je ne connais pas
Ces masques qu’on porte nous privent d’une partie des humains qu’on aime, mais nous empêchent aussi de voir le vrai visage des inconnus qu’on côtoie.
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Aller au cinéma en temps de pandémie
Adieu ambiance festive qu’on aime tant des cinémas. Les arcades sont fermées, les services de restauration sont réduits au minimum et il n’y a aucun regroupement de personnes.
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Et si on lâchait les complots et le débat contre le masque?
Si je te dis que je porte mon masque sans chialer, on me traitera de mouton. Si je dis que de le porter brime mes droits et libertés, on me traitera de conspirationniste.
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Le Coronavirus a tué le secondaire 5 de ma fille…
Ma fille fait partie du comité d’organisation du bal, plein de projets avaient été amorcés, plusieurs activités pré-bal devaient avoir lieu... Mais non, tout ça n’aura pas lieu...
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Éducatrice à l’enfance : pratiquer la distanciation de mon cœur
ertains me diront que j’ai eu le temps de m’habituer après deux mois à pratiquer la distanciation avec les enfants, mais il y a une distanciation à laquelle je n’étais pas préparée : celle avec mon cœur.
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La fin de mon p’tit monde – Un journal de confinement – 4e partie
Je suis ce type d’enseignante qui sort de chez elle pieds nus pour aller piquer une jasette avec ses étudiants de sixième année qui ont parcouru dix minutes en bicyclette jusqu’à chez elle pour s’efforcer de retrouver un semblant de normalité.
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La fin de mon p’tit monde – Un journal de confinement – Partie 3
Cette demande me parut absurde, car un lieu ne peut pas disparaître en un claquement de doigts, mais pour eux, c’était du réconfort à l’état pur de voir que le tableau, leur chaise et leur bibliothèque n’avaient pas bougé d’un cran.