Ces masques qu’on porte nous privent d’une partie des humains qu’on aime, mais nous empêchent aussi de voir le vrai visage des inconnus qu’on côtoie.
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Aller au cinéma en temps de pandémie
Adieu ambiance festive qu’on aime tant des cinémas. Les arcades sont fermées, les services de restauration sont réduits au minimum et il n’y a aucun regroupement de personnes.
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Et si on lâchait les complots et le débat contre le masque?
Si je te dis que je porte mon masque sans chialer, on me traitera de mouton. Si je dis que de le porter brime mes droits et libertés, on me traitera de conspirationniste.
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Le Coronavirus a tué le secondaire 5 de ma fille…
Ma fille fait partie du comité d’organisation du bal, plein de projets avaient été amorcés, plusieurs activités pré-bal devaient avoir lieu... Mais non, tout ça n’aura pas lieu...
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Éducatrice à l’enfance : pratiquer la distanciation de mon cœur
ertains me diront que j’ai eu le temps de m’habituer après deux mois à pratiquer la distanciation avec les enfants, mais il y a une distanciation à laquelle je n’étais pas préparée : celle avec mon cœur.
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La fin de mon p’tit monde – Un journal de confinement – 4e partie
Je suis ce type d’enseignante qui sort de chez elle pieds nus pour aller piquer une jasette avec ses étudiants de sixième année qui ont parcouru dix minutes en bicyclette jusqu’à chez elle pour s’efforcer de retrouver un semblant de normalité.
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La fin de mon p’tit monde – Un journal de confinement – Partie 3
Cette demande me parut absurde, car un lieu ne peut pas disparaître en un claquement de doigts, mais pour eux, c’était du réconfort à l’état pur de voir que le tableau, leur chaise et leur bibliothèque n’avaient pas bougé d’un cran.
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On peut-tu reprendre nos vies, mais pas comme avant?
Est-ce qu’on peut continuer à lever les yeux et croiser le regard de ceux qui nous entourent plutôt que de regarder le sol ou un écran sans se préoccuper de son prochain?
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La fin de mon p’tit monde – Un journal de confinement – Partie 1
Le 12 mars 2020 sera gravé dans la mémoire de plusieurs pour le reste de leur existence. Dont la mienne.
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Suffoquer à cause de la Covid-19
Et ça m’a fait flipper. Comme si on venait d’aspirer tout l’oxygène dans mon appartement. J’ai été prise d’un vertige, comme si j’allais m’évanouir. « Je suis coincée ici », ai-je réalisé.