Je ne devais pas revenir sur le sujet. J'avais bel et bien terminé ma série il y a quelques mois, convaincue d'être prête à tourner la page définitivement.
-
-
Les chroniques d’une hyperactive au repos forcé — faire le deuil du corps que j’avais
Faire le deuil de quelque chose que t’as perdu, c’est propre à chacun de le vivre comme il l’entend. Et si ça m’a pris une série complète d’articles pour arriver à amorcer ce deuil une bonne fois pour toutes, ben ça sera ça.
-
Les chroniques d’une hyperactive au repos forcé — 2 ans plus tard… et ce n’est pas fini
Jamais au grand jamais je n’aurais imaginé écrire encore sur le sujet après tout ce temps. C’est d’ailleurs la plus longue série de textes que j’ai écrite sur le blogue.
-
Les chroniques d’une hyperactive au repos forcé : est-ce que j’ai fait tout ça pour rien?
L’été tire déjà à sa fin et je n’arrive toujours pas à dire si ça a été long ou pas. J’ai la peau bronzée, les marques de maillot bien en évidence sur le corps, la tête et le cœur pas mal mélangés.
-
Les chroniques d’une hyperactive au repos forcé — Ça prendra le temps qu’il faut
On dirait que le temps ne fonctionne pas de la même façon depuis le début de 2020. Que les jours, les semaines et les mois ne s’écoulent pas avec fluidité. Les minutes se succèdent, les pages de mon calendrier tombent de manière irrégulière tout en étant incroyablement constantes.
-
Les chroniques d’une hyperactive au repos forcé — Douleurs différentes, sentiments pareils
uand tu es en arrêt de travail, les autres croient à tort que tu es en vacances et que tu profites pleinement du temps passé à la maison.
-
Les chroniques d’une hyperactive au repos forcé – La lumière au bout du tunnel
J’ai peu touché aux antidouleurs prescrits par mon orthopédiste mis à part quelques comprimés pour m’aider à mieux dormir lors des nuits difficiles. Pas question de parler avec mes fourchettes cette fois-ci et de ressentir des effets secondaires bizarres.
-
Les chroniques d’une hyperactive au repos forcé — Immobilisée à nouveau
J’ai donc repris le chemin de la maison, pour y débuter ma deuxième convalescence. Je passerai les 6 prochaines semaines immobilisée à nouveau.
-
Les chroniques d’une hyperactive au repos forcé — Retour à la case départ
Plus de 18 mois après la chute sur la glace qui allait tout changer, me revoilà ici, à reprendre cette chronique pour vous raconter pourquoi je reviens pratiquement au point de départ.
-
Les chroniques d’une hyperactive au repos forcé… un an plus tard
Une année plus tard, les choses ont quelque peu changé. J’ai repris la routine qui m’essouffle. Celle qui fait en sorte que j’arrive à la maison le vendredi soir complètement à plat et qui me donne le blues du dimanche soir parce qu’il revient trop vite.